| Sujet: Paris A. J. Fred' Mer 2 Juin - 16:48 | |
| Paris A. J. Fredriksen---------------------------------------- | INFORMATIONS GENERALES. | ---------------------------------------- > NOM; Fredriksen > PRENOM; Paris Attention à la liste complète : Paris Amédée Juliet. Merci papa, merci maman. > ORIGINE; Britannique > GROUPE SANGUIN; A + (claaaasse) > RELIGION; Aucune > LIEU DE NAISSANCE; Londres > DATE DE NAISSANCE; 17 Juillet > AGE; 25 ans (et celui qui dit un seul mot, il a intérêt à numéroter ses dents fissa) > VIRUS; Delta > ORIENTATION SEXUELLE; *gloussement stupide* Inconnue précisément à ce jour
--------------- | HISTOIRE. | --------------- Après relecture, je me rends compte que je m'enfonce dans les profondeurs de la nullité avec cette histoire x) Mais bon, la flemme de la réecrire. - Spoiler:
♫ [You're awful, I love you]
" Elle m'a pris la main, j'ai attrapé son lourd manteau à la senteur si familière. - Paris, mon amour, on est pas mieux tous les deux ? Dis moi, est-ce qu'on a besoin de Papa ? Machinalement, mon regard s'est posé sur l'homme qu'elle avait désigné d'un geste bref. J'ai croisé le regard de cet homme. Implorant. Désespéré. - Non, maman. Et on est partis, main dans la main, en le laissant seul dans sa grande maison. Je ne me rappelle plus s'il nous a appelé, s'il a crié nos noms. Je commence juste à comprendre combien je l'ai blessé ce jour là."
____________________________
- Paris Amédé Julieeet ? Kelly prit une longue gorgée avant de passer la bouteille à l'intéressé. Elle poussa un soupir de soulagement pas très sexy avant de s'appuyer sur l'épaule de son ami. - Boude pas, Paris, j'me fous pas de ta gueule. Elle soupira de nouveau, et contempla le vide qui s'étendait devant elle. On apercevait la ville, en contrebas. La ville, ses lumières, sa fumée, ses habitants surbookés. Et eux, perchés au dessus de tout ça. Que désirer de mieux ? - Tu sais ce qui me plairait ? Elle se rapprocha, posa sa main sur la sienne. Un geste familier entre les deux jeunes gens ; un geste d'amitié. Mais ce soir là, elle voulait plus. - Hmmm la bouteille ? Il la lui tendit avec un sérieux destiné à la faire sourire. Ce ne fut pas le cas. Il passa gentiment son bras autour des fines épaules de la demoiselle. - Nan j'sais pas. Tu veux quoi ? La nuit les enveloppa de sa silencieuse douceur tandis que les mains de Kelly se faisaient plus hardies, plus pressantes. L'absence de réaction de son compagnon, elle l'interpréta comme un accord. Ses lèvres se posèrent sur celles de Paris dans un baiser à la passion teintée de triomphe. Elle n'avait que trop longtemps espéré. Mais la passivité de son ami se fit bientôt gênante et ridicule. Elle le libéra de son étreinte, ravalant ses larmes de honte et de déception. Un lourd silence écrasa les deux amis. Au bout de longues minutes, Paris rompit le malaise dans un murmure : - Je suis désolé. Je ne comprends pas ce que tu attends de moi... Le ton était sincère et véritable. Comme s'il ne comprenait vraiment pas ce qui venait de se passer. Mais c'était impossible. Il avait 16 ans, et à cet âge les hommes ne pensent qu'à ça, c'est bien connu. Paris ne pouvait pas ne pas comprendre son désir de l'aimer. - Paris... prends-moi. Embrasse moi, maintenant. Ou dis moi que tu ne m'aimes pas. Il voulait répondre, ne trouva pas les mots. Il effleura la joue de Kelly et repoussa avec délicatesse une mèche de ses cheveux colorés qui s'était égarée sur son visage. Son mascara avait un peu coulé. Paris se détourna un instant en sentant le malaise croissant de la jeune fille. Son souffle résonna à peine dans la nuit. - Pardonne moi... Elle était déjà partie.
____________________________
" Kelly est revenue me voir le lendemain. Pour s'excuser. Elle m'a dit qu'elle avait trop bu, qu'elle était vraiment conne et que ça lui faisait rien que je sois gay. Sauf que je suis pas gay. Enfin je crois pas. "
____________________________
" J'ai tapé "embrasse moi" sur internet. Je vois ce qu'elle voulait que je fasse. Mais...pourquoi ? Maman refuse d'en parler. Elle dit que ça ne me concerne pas. Kelly n'avait pas l'air d'accord sur ce point."
____________________________
L'orage gronda, menaçant. La pluie battait aux carreaux, et Paris goûta à la joie enfantine d'être à l'intérieur quand le déluge frappe au dehors. Étendu dans son lit, il fixait le plafond en écoutant le vent hurler. La porte de sa chambre s'entrouvrit avec un bruit discret. - Paris ? Tu dors ? - Maman ? Elle s'approcha sans répondre, se glissa dans le lit de son fils. - Cet orage...je ne veux pas dormir seule. Ses mains pâles se glissèrent sous la couverture froissée, et elle se blottit contre l'épaule nue du jeune homme avant de s'endormir comme un bébé. Paris, lui, ne ferma pas l'œil de la nuit.
La nuit suivante le ciel était clair et sans défaut. Pourtant, de nouveau, la porte de la chambre de Paris s'entrouvit avec un bruit discret. Et ce fut ainsi chaque nuit depuis ce jour. ____________________________
" Lorsque mon prof particulier a appris que je dormais avec ma mère, il a fait venir un psy. Je n'en avais jamais vu et, je dois l'avouer, j'étais assez curieux de voir ce qu'il me voulait. Il m'a parlé d'œdipe. Le môme qui a tué son père et épousé sa mère. Ce type a répondu à une énigme aussi, mais ça c'était pas important, apparemment. Il m'a parlé de la place du père qui manquait, patati patata... Ça ne voulait rien dire, pour moi. De quelle place parlait-il ? On avait besoin de personne d'autre, maman et moi. C'était ce qu'elle disait toujours, en tout cas. Et je la croyais. Bref, le psy m'a donné plein de conseils (des ordres déguisés, j'suis pas con). Il m'a demandé si je voyais des filles de mon âge. Ou des gars. Quand j'y pense bien, je ne vois personne. On a besoin de personne, nous deux. Enfin je crois.
De toute façon, ce psy a faux sur toute la ligne : c'est pas moi qui dort avec ma mère. C'est ma mère qui dort avec moi. "
____________________________
" Je crois que ma mère a un problème. Notre relation n'est pas normale, à mon avis. Pas comme les autres, en tout cas. Aujourd'hui elle a refusé que je vois Kelly, alors qu'elle rentre seulement une fois par mois dans le coin. Le reste du temps, elle fait ses études dans un lycée dans la ville voisine. Elle bosse ses exams en ce moment. Elle veut aller à la fac. Moi aussi, je devrais faire ça. Je vais pas rester ici éternellement.
A la place on est allés en ville, faire des courses. J'ai vu un mec de mon âge, avec sa mère. Ils ne se donnaient pas la main, ne se touchaient presque pas. Pourtant, leur complicité était grande, et leur relation respirait une tendresse à demie enfouie sous un voile de pudeur. Je découvrais une nouvelle façon d'aimer et d'être aimé. Elle était intéressante, cette autre manière de vivre.
Kelly m'a donné rendez vous ce soir à notre endroit habituel. Je vais y aller." ____________________________
Paris entra sur les pointes des pieds. Il était minuit, il avait tenu sa promesse. Sur le mot qu'il avait laissé à sa mère, c'était cette heure qu'il avait indiqué. Kelly et lui avaient parlé longtemps, sans s'arrêter. Elle rayonnait, et sa soif d'indépendance était contagieuse. Elle avait de tels projets pour son avenir... et la plupart d'entre eux étaient irréalisables. Mais bon, elle avait foi en son futur et cela la rendait forte. Le jeune homme avait bu. Un peu. Il savait d'instinct où était sa limite, et s'arrêtait toujours avant de se mettre la tête à l'envers lorsqu'il avait l'occasion de sortir un peu. Il fut surpris de voir la cuisine éclairée, et soupira. Sa mère l'avait attendu, évidemment. Elle s'était sans doute inquiétée de le voir absent pour le dîner, malgré le message qu'il avait mis en évidence sur sa porte. Il entra sans frapper, paré à s'excuser d'avance ; l'odeur de l'alcool lui sauta à la gorge. Il lança un regard surpris à sa mère, attablée devant une bouteille de gin dont il ne restait plus qu'un fond.
Juliet Fredriksen ne buvait pas. C'était bien connu. C'était une femme bien, une bonne mère et une héritière digne de ses origines. Mais ce soir là, apparemment, elle n'avait pas sauvé les apparences. - Paris... Tu n'as pas dîné avec moi... Sa voix était lasse, usée par l'alcool. Elle planta son regard bleu pâle dans celui de son fils. Il ne l'avait jamais vue dans cet état. - Je suis désolé. Je devais voir Kelly avant qu'elle parte, c'était important pour moi. Car elle partait loin, Kelly. Portée par ses rêves. Sans entrave aucune. - Mais Paris, mon amour... On a pas besoin d'elle, on est bien, tous les deux... Ils restèrent un instant à se fixer en silence. Juliet se leva lentement, et marcha d'un pas hésitant vers son fils. Elle lui prit la main, voulut l'étreindre. Il se déroba.
Juliet Fredriksen était quelqu'un de respectable. Une femme bien, une bonne mère. Elle aimait un peu trop son fils. Ne supportait pas qu'il recule devant elle. Alors elle frappa. Avec la bouteille. ____________________________
" Le soleil filtrait à travers les rideaux de ma chambre que je me suis réveillé. J'ai gardé les yeux fermés longtemps. J'avais l'impression que quelqu'un frappait à coups de marteau à l'intérieur de ma tête. Et rien à voir avec l'alcool. Ma mère était là, bien sûr. Elle s'est excusé de sa voix douce, lancinante. M'a supplié de la pardonner. J'ai failli le faire, mais je n'ai rien dit. Je ne pouvais pas continuer à vivre comme ça. Elle m'a caressé le front, doucement. A passé ses longs doigts frais et doux là où la bouteille avait explosé contre ma tête. "Heureusement que j'ai été infirmière", qu'elle a dit. Elle n'a jamais travaillé, et encore moins en tant qu'infirmière.
Elle s'est absentée pour nous préparer un plateau de déjeuner. C'est à ce moment que j'ai rappelé le psy. J'aurai pu attendre un peu, attendre que se soit habillée un peu plus convenablement, qu'elle se soit coiffée. Mais j'avais peur que ma résolution ne s'effondre comme un château de cartes lorsqu'elle serait revenue, tout sourire, avec ce qu'elle nous avait préparé. Car je l'aimais, profondément. Je ne voulais pas la trahir, mais elle avait autant besoin d'aide que moi. Peut être même plus. Une heure après, la maison était envahie d'assistantes sociales. Ils ont pris ma mère en charge et ont voulu me placer en foyer ; j'étais suffisamment âgé pour vivre seul alors je suis parti. Ma mère ne m'avait pas ouvert de compte en banque, mais j'ai pu utiliser le nôtre puisqu'elle n'en aurait plus besoin avant un certain temps. Pour la première fois, je suis allé au cinéma, au théâtre, à des concerts. J'ai fais l'amour à des filles, à des gars. Sans comprendre pourquoi. J'ai découvert que je ne connaissais de la vie que ce que ma mère avait bien voulu me laisser entrevoir.
Ma mère m'a envoyé quelques lettres. Elle me dit qu'elle m'aime, que nous serons bientôt réunis. Elle me conjure de ne pas l'oublier. Elle ne sait pas que c'est moi qui l'aie vendue. Ses médecins tâchent de la sociabiliser. Ils veulent me voir, moi aussi. Mais je veux découvrir par moi même ce que je ne comprends pas encore. J'en ai marre d'être toujours accompagné.
J'ai voyagé, j'ai essayé de rattraper les années passées cloîtré chez moi avec ma mère. Au début, j'ai eu du mal à m'habituer à tous ces inconnus - nous sortions rarement en ville. Pour gagner de l'argent, j'ai été embauché comme serveur, pendant longtemps. Puis j'ai dealé, en peu. Les deux jobs se mariaient plutôt bien. Un jour un toxico a dépassé les limites, il s'en est pris physiquement à moi. Alors j'ai dû le tuer. C'est triste à dire, mais ça ne m'a rien fait. Ça n'a rien fait à personne en fait, je crois.
Les années filaient. Je n'avais plus de nouvelles de Kelly. J'envoyais chaque semaine des lettres à ma mère, mais je ne sais pas si elle les a un jour reçues. Elle y répondait de temps à autre, de façon mécanique. Souvent je repense à nous deux ; elle m'a trop aimé, et je l'ai abandonnée. N'y avait-il donc pas d'autre choix ? Avais-je été le pire des égoïstes, ou avais-je eu raison de vouloir m'émanciper de cet amour aussi encombrant que dangereux ?
Un homme est venu vers moi, un jour. Il m'a fait une proposition et une injection. Et ma vie a changé. Un peu. Je suis devenu un Traqueur."
------------------ | CARACTERE. | ------------------ Paris dévore la vie comme un gars qui a passé la moitié de son existence sous la surveillance étroite de sa mère. Il ne cesse de vouloir découvrir, de vouloir comprendre. Bon, 'faut pas non plus l'imaginer courir partout comme un gamin de cinq ans avec des étoiles dans les yeux qui pose des questions toutes les trois secondes sans attendre les réponses. Paris, lui, observe. Très observateur, il peut passer des heures assis sur un banc de la grande place à regarder les gens qui passent. Il observe, et apprend. Hé oui, Mister Fredriksen a beaucoup à apprendre, surtout au niveau des relations humaines. Il ignore ce qui se fait, et ce qui ne se fait pas. Peut-il aider cette femme à se relever sans que son geste soit déplacé ? Doit-il marcher plus loin d'elle ? N'est-il pas trop près ? En quelques années, Paris a bien réussi à se faire une idée approximative de la bienséance, mais doute encore de ce qu'il fait. Malgré son don, il a toujours du mal à prévoir les réactions des autres devant ses paroles, son attitude. N'imaginez pas cependant Paris comme un antisocial incapable de s'adapter. Il aime la compagnie, et demeure quelqu'un de très abordable et d'ouvert aux autres. Il aime écouter les gens parler, mais n'hésite jamais à prendre la parole. Il manie à merveille l'autodérision, et son humour fait souvent mouche. Bon, il peut se montrer un brin sarcastique, mais ça ne fait jamais de mal. En groupe, il aime diriger. Ça le change du passé, le pouvoir réveille en lui des sensations nouvelles. Plutôt charismatique quand il s'y met, la plupart des gens lui font confiance et ont raison. Il est intelligent, Paris. Un peu crédule parfois, mais intelligent. Il manque de temps en temps de recul sur la situation du fait du son manque d'expérience, mais sait gérer son stress en cas de coup dur. Plutôt stratégique, il préférera tendre une embuscade plutôt que de courir toute la journée derrière ses "proies". Mais il n'hésitera pas s'il n'y a pas d'autres solutions. Paris et son job, une graaande histoire d'amour. Il a accumulé une tonne de petits jobs plus ou moins nazes en un temps record. Celui-ci, c'est le mieux, et de loin. Ok, c'est pas génial de traquer des mecs pour les envoyer à la guerre, mais c'est la vie. C'est leur devoir, à eux de l'assumer. Lui, il est payé pour ça et a tout gagné dans l'affaire : il a un pouvoir plutôt cool, une arme et le droit de s'en servir, et sa dose d'adrénaline quotidienne. Un peu la pression aussi, mais rien d'insurmontable. Il est entré dans un cercle, n'en sortira pas. Mais il suffit de faire son boulot, et tout ira bien. Paris et l'amour, c'est compliqué. Car il n'a jamais aimé quelqu'un plus que sa mère. Mais était-ce réellement de l'amour ? L'amitié, il connait. La sexualité aussi. C'est tellement simple, mais tellement vain. Mais l'amour ? Paris l'attend, sans beaucoup de conviction ; car si la passion frappe à sa porte, sera-t-il capable de la reconnaître ?
> TICS; Paris a plusieurs tics de langage, des expressions qu'il répète un peu trop souvent. Il a aussi la fâcheuse tendant d'oublier les nom des gens, ce qui peut s'avérer gênant. Dans une file d'attente où tout autre endroit où il est forcé de rester debout longtemps, il ne s'appuie jamais sur ses deux jambes, se contentant d'un seul appui (bonjour les crampes). Il est incapable de se servir correctement d'un cure dent : il préfère le mâchouiller pendant des heures. Il met toujours le volume de sa TV sur un chiffre pair, quitte à ce que se soit un peu trop fort (ou pas assez). Il change de trottoir avec un léger saut, sans même s'en rendre compte. Il se réveille chaque nuit entre trois et quatre heure du matin depuis une dizaine de mois. Brrref, vous l'aurez compris, Paris est plein de particularités. Et aucune d'entre elle ne vous intéresse, pas vrai ?
> PEURS; Paris a peur de rien Rien en particulier. Enfin, il aime pas trop les clowns, quand même... ça sert à rien, c'est moche, c'est pas drôle, et ça fait peur, un peu ._.
------------------ | APPARENCE. | ------------------ Lève les yeux, va un peu vers la gauche.. voiiiila....
Comment parler de l'apparence de Paris ? Il n'est pas ce qu'il semble être. Hé oui, on ne le répétera jamais assez : l'habit ne fait pas le moine. Question allure générale, on doit avouer que Paris est assez agréable à regarder. Il flirte avec le mètre quatre vingt, taille tout à fait acceptable pour un jeune homme de son âge. Il ne parait pas extrêmement grand, surtout du fait de sa corpulence ; fin et longiligne, il est loin d'avoir la carrure et les muscles qui attireraient à lui toute la gente féminine. Mais mais mais attentiooon, on ne rappelle alors que les apparences sont trompeuses ! Sous cette allure on ne peut plus banale se dissimule un corps d'athlète savamment sculpté par des heures d'exercices intensifs et.... Nan, je rigole. Paris n'a pas le corps parfait d'un jeune éphèbe de la grèce antique. Ce n'est ni un apollon ni un adonis, juste un gars plutôt bien construit malgré une carrosserie plutôt quelconque. Du genre heureuse surprise, ce mec qu'on croyait limite chétif arbore en fait un musculature fine et nerveuse mais une musculature quand même. C'est déjà ça et ça suffit bien pour ce qu'il fait. Je vous évite gentiment une description plus poussée de tous les muscles de Paris, bien que ça m'tente sérieusement. Il n'a pas un visage très surprenant, et ne marque pas spécialement les esprits. Des traits fins, un visage bien dessiné et pas très viril. Un sourire mince mais franc. Une cicatrice au dessus de l'arcade, à peine visible sur sa peau pâle. Oui, Paris a une peau pâle. C'est pas sa faute s'il bronze pas. Bon, c'est pas comme s'il essayait, mais même. De toute façon, c'est plus beau comme ça. Sa mère l'a toujours dit. Regardez le. Il est blond. Et bien en fait, Paris a les cheveux châtains. Scoop, pas vrai ? Les apparences, souvenez vouuuus. Il se teint les tifs depuis ses cinq ans. Autant vous dire que ces derniers ne ressemblent plus à rien au naturel. Sa mère est blonde, si vous voulez une explication. Elle voulait que Paris ait les mêmes cheveux qu'elle, et non la tignasse de son paternel. Par contre, pour les yeux, elle n'a rien pu faire. L'opticien a refusé d'en prescrire à un gamin sans raison valable.Voilà pourquoi Mister Fredriksen a le même émeraude que son père, cet inconnu. Question capacités physiques, Paris brille par sa vivacité et sa précision d'avantage que par ses exploits en force brute. Son pouvoir lui permettant d'anticiper pas mal de trucs, il est dur de se défaire de lui quand il s'accroche. C'est un Traqueur, même si on a tendance à l'oublier ; Paris a les moyens de faire son boulot, et de le faire bien.
-------------- | POUVOIR. | -------------- Prescience, pouvoir d'anticipation. "Madame Irma sur ondes courtes." La prescience, c'est la fin du suspens dans la vie. Paris a la capacité de voir le futur proche. De façon très claire, mais très réduite : il n'est pas capable de voir au delà de deux minutes, et ne voit généralement qu'avec une poignée de secondes d'avance. C'est déjà très pratique pour pas mal de choses ; quand vous savez qu'on va vous tirer une balle dans la tête, généralement vous réagissez. Quand vous savez que ce passant d'apparence anodine va dégoupiller une grenade et vous la lancer à la tête, vous êtes en droit de ne pas attendre qu'il le fasse. Néanmoins, ce genre de pouvoir demande un minimum de filtrage. La prescience de Paris est inconsciente, elle s'effectue de manière naturelle et spontanée depuis l'Injection. Or savoir à l'avance ce que les gens vont vous dire, c'est usant à force. Contrôler ce trop plein d'informations s'avère relativement aisé, bien qu'un peu contraignant. Impossible en revanche de connaître exactement le laps de temps qui s'écoulera entre la vision et l'instant présent... > ARME; Couteau papillon. Envie d'infos ? Wiki est ton ami.
- Spoiler:
La longueur de la lame est approximativement celle de l'avant-bras, pour une dissimulation facile dans les manches ou dans les bottes, et une plus grande manœuvrabilité lors de la rotation ou d'une passe durant un combat rapproché. Le couteau papillon est généralement manié par paire. Dans le même esprit, ils sont généralement placés côte à côte dans le même fourreau, de façon à pouvoir donner l'apparence d'une arme unique. Le couteau a aussi une petite garde courbe pour protéger les mains de l'utilisateur, qui peut être utilisée pour bloquer ou pour accrocher l'arme de l'adversaire. La garde peut aussi être utilisée comme poing américain lorsqu'une application non-mortelle de l'arme est désirée. Traditionnellement, la lame d'un couteau papillon est façonnée seulement à moitié, c'est-à-dire du milieu de la lame jusqu'à son extrémité ; de façon à ce que le restant de la lame soit émoussée. Ceci est fait pour que la partie non tranchante de la lame puisse être utilisée pour bloquer sans causer de dommages à la partie aiguisée, et de porter des attaques non-fatales.
#_ VOUS. > PSEUDO; Kem > AGE; 16 ans.... ha nan, tiens, déjà 17 ._. > COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? Hmm je sais plus... top site, sans doute. > CODES; BON é_é. C'est tout ce que j'ai vu, mais je relis.
> AUTRES; EDIT Désormais, à chaque connexion, prenez le réflexe Chat Box. C'est convivial et renforce les liens entre membres (et donc l'activité du forum!) C't'un ordre è_é Nan vous forcez pas, mais pensez-y =) Généralement ça fait plus de bien que de mal ! *a été la seule personne de connectée de toute la semaine* Très joli forum, en tout cas. Le concept est intéressant, du genre simple mais efficace J'espère réussir à être active... et pour ça, je veux un topic dès ma validation !
Dernière édition par Paris Fredriksen le Dim 6 Juin - 0:18, édité 4 fois |
|