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| Sujet: Mackenzie. Dim 31 Jan - 6:52 | |
| MACKENZIE.« I feel like I'm spinning out of control, Try to focus but everything's twisted. I'm spinning out of control, out of control. »
http://www.deezer.com/listen-1172914 ---------------------------------------- | INFORMATIONS GENERALES. | ---------------------------------------- > NOM; O'Maera. > PRENOM; Eílis, Mackenzie. Mais faîtes comme tout le monde et appelez-là Mackenzie. > ORIGINE; Irlandaise du côté de son père, norvégienne par sa mère. > GROUPE SANGUIN; B Négatif. > RELIGION; Aucune. > LIEU DE NAISSANCE; Dublin ; Irlande. (Eire) > DATE DE NAISSANCE; 14 Décembre. > AGE; La vingtaine. Bientôt 20 ans, quoi. > VIRUS; Oméga. > ORIENTATION SEXUELLE; A priori hétérosexuelle. --------------- | HISTOIRE. | --------------- D'un côté il y a Sinead O'Maera, photographe pas assez ambitieux pour être reconnu internationalement mais talentueux, et de l'autre Sølvi Larsen - où comment caser une référence pourrave à un voleur de génie -, fausse ingénue qu'on croirait descendue tout droit d'Asgard. Appareil au bout des doigts comme une prolongation de lui-même, il ne voit plus qu'elle. Transporté, tout à son art, complices, seuls au monde, ils en oublient la jeune enfant qui du haut de ses six ans tentait d'évaluer la taille de la falaise qui lui faisait face. C'était si haut, si grand. Y avait-il une fin à cela ou bien cela pouvait-il mener jusqu'au ciel ? Était-ce là le chemin menant à Asgard, ce royaume des Dieux dont lui parlait souvent sa mère et qui surplombait Midgard le monde, transitoire, des humains ? Se détournant vivement de ce chef d'œuvre de la nature, la fillette se tourna vers l'océan qui se trouvait à quelques mètres derrière elle. Tumultueux et d'un bleu légèrement verdâtre, il n'en était que plus fascinant aux yeux de la toute jeune enfant. Fascinant, et si attirant. Elle avait envie d'y plonger et de marcher au fond de l'eau jusqu'à en avoir fait tout le tour. Pourrait-elle alors apercevoir les crocs ou bien l'extrémité de la queue de Jörmungandr, le Serpent-Monde ? Douce illusion que celle qui la berçait, douce illusion que celle des mythologies dans lesquelles la fillette nageait. Mais le temps des illusions touchait à sa fin.
- Où est Sølvi ? Regardes-moi, allez regardes-moi. La question, posé sur ce ton si candide des enfants n'eut pour réponse que le silence. - Je l'ai tué, hein ? J'ai tué .. Maman. Regardes-moi, dis-moi que c'est faux, que j'ai tort. Le regard hagard et désespéré d'un père à sa fille. Maman. Ce mot-là, Eílis ne l'a jamais prononcé avant, tout comme Papa. Toujours Sølvi et Sinead, comme pour garder une certaine distance, pour ne pas qu'elle s'attache trop à eux, comme s'ils savaient déjà l'avenir auquel était promise à leur enfant. Déjà il baisse les yeux, ne supportant pas la vue du visage si nonchalant de la fillette, ne supportant plus la vue de cette enfant si semblable à sa mère, ne supportant plus de faire face à une si cruelle vérité. Car il a tout perdu, tout. Du moins, c'est ce dont il était persuadé. Ce jour-là, l'estime et le respect qu'Eílis avait pour son père, Sinead O'Maera, s'atténua, s'effilocha sans qu'elle s'en aperçoive vraiment, trop jeune pour vraiment s'en rendre compte. La soirée s'éternisa, s'éternisait. Et dans l'obscurité d'un salon, un homme - une loque serait plus approprié mais bon - pleura, arrosant les accoudoirs de son canapé et son jean avec, sous le regard alors si lointain de sa fille d'une dizaine d'années, plantée au beau milieu du-dit salon. Une semaine plus tard, l'Orphelinat accueillait un nouvel enfant perdu. Officiellement Eílis Mackenzie O'Maera. Officieusement Mackenzie O'Maera. Quand à Sinead O'Maera, on eut bientôt plus aucunes nouvelles de lui et certains allèrent même jusqu'à penser qu'il avait voulu rejoindre sa bien-aimée. En réalité trop lâche pour cela, il finit sa vie an et demi après l'entrée de sa fille à l'Orphelinat suite à une bagarre dans un pub qui avait mal tourné. Un fin si pathétique qu'il veut mieux que sa famille ne la connaisse jamais. Comme personne ne sut jamais que si Sølvi Larsen avait, ce jour-là, perdit le contrôle de son véhicule qui heurta la paroi rocheuse qui bordait la route c'est parce qu'elle était trop appliquée à expliquer à sa fille les nouvelles informations qu'elle avait trouvé sur sa chère mythologie nordique suite aux questions d'Eílis. Personne sauf Sinead que l'idée avait effleuré et la concernée. Mais désormais, tout cela était derrière elle. Adieu Eílis et bienvenue Mackenzie.
Taisez-vous, taisez-vous tous. Vous et vos piaillements incessants m'insupportez. Taisez-vous, bon sang. Mon silence, rendez-moi mon silence. Rendez-moi ma paix, rendez-moi mon sanctuaire, rendez-moi mon silence. Il avait fallu d'une piqûre, d'une injection pour que son seul rempart contre l'extérieur, contre les autres vacille et s'effondre. Le silence était désormais pour elle un paradis perdu, son Eden à elle, ni tout à fait Niflheim ni le Walhalla. Confusion, explosion de sons, de pensées en tout genre, dans tous les sens et toutes les directions. Que me veulent-elle ? A qui appartiennent-elles ? Allez-vous en, éloignez-vous de moi, je ne veux plus rien entendre, ni vos pensées muettes ni celles formulées. Taisez-vous tous. TAISEZ-VOUS ! Subitement l'agitation se fait autour d'elle, une agitation presque muette, chuchotée. Que vient-il de se passer ? L'avez-vous entendu vous aussi ce cri qui a résonné dans nos têtes ? Mais déjà tout se trouble autour d'elle, tout autour d'elle devient chaos et multitude de pensées, tout devient obscurité et douleur. Et elle se tord, mains enroulées dans ses cheveux contre ses tempes. Et elle voudrait hurler que tout son être va exploser, va imploser. - Félicitations, tu es télépathe. Oh, elle se passerait volontiers d'être télépathe, vous savez. Oh oui, si seulement vous saviez à quel point ce brouhaha incessant la rend folle, l'affaiblit et la fait souffrir. Mais désormais elle ne dira plus, ne vous montrera plus rien de tout cela. N'est-ce pas ce que vous vouliez au fond ? Mais Mackenzie s'en fout, pour l'instant tout ce qui compte est de pouvoir récupérer son silence.
Dehors, enfin. L'extérieur, enfin. Mais pas de "La liberté, enfin." puisque pour eux, les Omégas, la liberté n'existe plus. Ils ont onze ans, onze de vie, neuf ans de survie avant d'aller mourir - ou pourrir, au choix - sur un champ de bataille pour une cause dont ils ne savent rien, des idéaux qu'ils ne partagent sûrement pas et une patrie qui n'est pas forcément la leur. Onze ans, hein ? Et ces onze ans Mackenzie comptait bien en profiter et les utiliser autant que possible. Crever comme un chien n'entrait absolument pas dans ses projets d'avenir, aussi court celui-ci soit-il.
- 'Taiiin. Pourquoi j'ai proposé d'aller accueillir ces mômes, moi ? Fais chier, 'mal au crâne. La routine, quoi. Rien d'anormal à une telle tirade de la part de l'Irlandaise. Il lui arrivait pourtant de faire preuve d'une certaine générosité - si c'en était - comme sa phrase le sous-entendait. Ces fameux mômes n'étaient autre que les ex-pensionnaires de l'Orphelinat brusquement lâchés dans une ville, une jungle plutôt, hostile à tout juste quatorze ans comme cela avait le cas pour elle il y a trois de cela. Mais Mackenzie s'adaptait à tout et cela facilement, elle avait pas mal de ressources à vrai dire. Et, dans un accès de bonté - ou de masochisme, elle hésitait encore -, notre chère Irlandaise avait décidé de guider sommairement ces gamins paumés. Sauf que là, alors qu'elle se rapprochait d'eux et que leurs pensées envahissait son esprit, cela ne lui disait plus rien du tout. Pourquoi faut-il qu'ils les lâchent les jours où la ville est bondée ? Rah, bordel. - La visite guidée, c'est par ici. Si vous ne voulez pas finir les entrailles à l'air en plein milieu d'une ruelle mal famée ou survivre un peu plus que deux mois ici dans d'assez bonnes conditions, chers marmots veuillez me suivre. Et pour les suicidaires que mon offre ne tente pas, passez le bonjour à Hel de ma part. Pas sûr qu'ils comprennent ta référence,y'a pas mythologie nordique au programme à l'Orphelin-Asile. .. Bah. Tant pis pour eux. Des visages, des voix, des pensées, comme tant d'autres mais resterait pour elle uniques. Et tout ça à cause - ou grâce - à cette chère Télépathie. Bien que ce soit pas tout à fait ça. Et dans cette masse compacte d'esprits enthousiasmés par la perspective de retrouver un semblant de liberté se trouvait une personne un peu plus digne d'intérêt à ses yeux que les autres. Enfin, ça c'est qu'on voudrait croire parce qu'en réalité Mackenzie n'en avait strictement rien à faire de cette gamine caractérielle et bourrée seulement elles étaient amenés à se revoir dans le futur. Une certaine Euphemia qu'elle ne se priverait pas d'emmerder dans les années à venir. Et elle ne serait sûrement pas la seule d'ailleurs. - Allez, bougez-vous les mômes. J'ai pas qu'ça à faire. Plus vite on aura fini, plus vite j'aurai une chance d'avoir un peu plus de calme. 'M'faut des cachets aussi. - Eh, les gamins, ce serait trop vous demander de penser moins fort ? Bon alors, par ici ..
------------------ | CARACTERE. | ------------------ « On dit que les chiens qui aboient ne mordent pas. Et bien elle, elle fout tout ça en l'air. Mackenzie ressemble à un chien, un bâtard à l'apparence presque lupine comme on les aime, qui aboie, gronde et mord. Et pas à moitié. .. Enfin je crois. » La première chose à savoir c'est qu'on ne peut jamais être sûr de rien avec Mackenzie. Entre ce qu'elle veut vous faire croire, ce que vous croyiez savoir d'elle et ce qu'elle est en réalité, entre le vrai et le faux, on finit par s'y perdre. Et elle aussi.
Mackenzie, elle s'approche, vous laisse vous rapprocher puis s'en va comme elle est venue. Sans attaches, elle erre, à des contacts partout mais pas de prise solide. Nomade, beaucoup trop souvent en mouvement, elle fuit la foule, reste introuvable. Préfère les rencontres de quelques heures, sans suite, que les longues amitiés sincères. Mackenzie, insaisissable. Une expression douce, un ton posé, pourtant en un instant de froide et indifférente elle devient colérique tout en éclats de voix, piques venimeuses et coups distribués en libre-service. Calme et la seconde suivante déchaînée, orageuse, comme la mer. Se laissant de temps à autre marcher sur les pieds pour mieux frapper par derrière. Ne mâche pas ses mots, même lorsqu'elle se veut hypocrite. Mackenzie, girouette. Je-m'en-foutiste notoire, elle prend le pire à la légère et le meilleur tout autant. S'extasie, se maudit, se ravise, se fout de la gueule du monde et de la sienne. Est un vrai tombeau quand il s'agit des secrets des autres mais colporte des tas de rumeurs en tout genre à son sujet, aime à brouiller les pistes, ses pistes. Se prétend hautaine mais a plus de mépris envers elle-même que pour vous autres. Navigue en eaux troubles, joue avec le feu, zigzague sur les limites comme un funambule marche sur sa corde. Mackenzie, contradictoire. Mackenzie quand on l'apprécie, on ne sait pas trop pourquoi mais quand on l'exècre on ne le sait pas tellement non plus. Elle est chiante, une emmerdeuse de première quand il le faut, physionomiste, supporte en apparence tout et en réalité presque rien, déteste les déballages de sentiments, se fout bien de savoir si on l'utilise tant que ce n'est pas en vue de finir en bon petit soldat. Elle sait beaucoup plus de choses que vous ne l'imaginez, joue plusieurs jeux en même temps, endosse autant de rôles qu'il le faut, refuse de devoir aller crever comme un chien parce que certains en ont décidé ainsi, se plaît à avoir que vous la considérez comme une énigme insoluble. Mackenzie, lunatique, versatile, imprévisible, fantasque, sauvage. > TICS; Jurer - à tort et à travers, pour tout comme pour rien - ; taper ou tapoter ce qui lui tombe sous la main - et surtout sous le pied. > PEURS; Agoraphobe.
------------------ | APPARENCE. | ------------------ Mackenzie c'est un souvenir fugace mais brûlant. Mackenzie c'est le mouvement et, brusquement, l'inertie.
O'Maera ? Plutôt mignonne, surtout quand elle sourit. Même si c'est rarement un sourire sincère et candide. Non, chez elle ça se rapproche plutôt d'un rictus tantôt carnassier tantôt sarcastique. C'est bien simple on a toujours l'impression qu'elle est en train de se moquer de quelqu'un que ce soit nous-même, quelqu'un autre ou bien elle-même. Indifférence, mépris ou rictus, les expressions du visage de O'Maera peuvent se résumer à ça. Personne ne la jamais vu sincèrement triste et encore moins heureuse.
Mackenzie ? Plutôt grande, élancée, un peu trop mince à mon avis, des ressorts à la place des jambes, cheveux longs d'une couleur très peu banale et des yeux bleus. Pas bleus clairs comme on en voit bien souvent, non, les siens sont d'un bleu sombre comme la nuit qui tombe, comme les profondeurs de l'océan. Sombres et sans fonds. Et souvent perdus, dans le vague.
Eílis ? Elle tient beaucoup de sa mère. Elles ont cette même démarche dansante, cette même grâce féline, cette même allure sauvage. Le moindre de leurs mouvements fait penser à ceux d'un animal, un prédateur bien entendu. Depuis toujours Eílis est comme cela, virevoltant, bondissant sans cesse pour ne pas qu'on l'attrape, qu'on ne la rattrape. Insaisissable, à croire qu'elle a un sixième sens.
Oh, elle ? J'la connais pas vraiment cette fille. 'Paraît qu'elle connaît presque tout le monde ici pourtant y'a pas grand-monde qui peut vraiment vous dire à quoi elle ressemble la gamine. Qui n'est plus vraiment une gamine, d'ailleurs. Le plus souvent quand je la croise, elle porte, n'importe comment, sa fameuse veste couleur sable retenue au niveau des avants-bras par deux lanières de cuirs. En dessous de ça, elle varie les teintes et les formes en évitant les couleurs vives et criardes. Y'a bien de temps en temps une touche de couleur avec son espèce de cravate écarlate ou bien une écharpe quelconque mais c'est tout. Pas tellement de fantaisies, quoi. Avec ça un short noir, des bras sombres - noirs le plus souvent - assez opaques et une paire de bottines toujours aussi sombres unisexes ou de converses défoncées.
L'Irlandaise ? Pas facile à cerner, celle-là. Je pourrais même que c'est un vrai phénomène mais ce ne serait peut être pas assez péjoratif pour lui convenir. Une gamine athlétique, un peu trop même, si vous voulez tout savoir. Souple, vive et agile, toujours à bondir de ci de là, à tenter les pires acrobaties et les cabrioles les plus folles. A pied. D'où une multitude de petites cicatrices au niveau de ses jambes et, surtout, de ses bras et avant-bras. Toujours en train de saigner celle-là. Pas grand-chose, bien sûr, il est rare qu'il se passe trois jours sans qu'elle ne trouve le moyen de se couper, griffer, entailler. Et le reste du temps elle arbore deux ou trois pansements et autres bandages faits mains. Ça a pas l'air de la gêner plus que ça et ses blessures sont rarement sérieusement. C'est qu'c'est une dure à cuire, au fond, notre Irlandaise.
-------------- | POUVOIR. | -------------- Télépathie. Le Talkie-Walkie avec options Radar et Lecture Automatique comme elle aime à le dire. La télépathie, tout le monde connaît. La télépathie, Sieur Hachette Edition 2007 l'a défini comme étant "une communication à distance par la seule pensée, aussi appelée transmission de pensée". En gros, Mackenzie est capable de parler, hurler, chanter, murmurer dans le crâne, plein ou bien vide, d'autrui. Et on peut même lui répondre, si c'est pas génial ? Sauf que cette capacité l'Irlandaise ne l'a pas acquis tout de suite, trop de concentration et d'énergie à fournir, un technique qu'elle mis du temps à maîtriser. Comme la fameuse option Radar mais ça ça date de sa sortie de l'Orphelinat. Oui, avec un peu - beaucoup, plutôt mais passons - de pratique et de séances de réflexion approfondies la jeune femme est désormais capable de 'suivre' mentalement les déplacements de quelques rares personnes et de repérer des gens - plus facilement des contaminés - qu'elle a déjà croisé. Évidemment ça lui demande beaucoup d'efforts, elle en vient même parfois à dormir plus d'une journée entière suite à ça et ça l'affaiblit considérablement. Mais comme c'est utile, elle se contre-fout des effets secondaires. Avec tout ça, je ne vous ai pas parlé de la version 'basique', si je puis dire, de son pouvoir. La fameuse option Lecture Automatique. Pour faire simple, ça lui donne la capacité de lire les esprits, enfin la surface des esprits. Et ce qui flotte en surface n'est autre que vos pensées. O'Maera est donc apte à lire vos pensées, ou plutôt devrais-je qu'elle est obligée de les lire. Cette part de vos esprits sont larges ouverts à elle et viennent à la rencontre de son propre esprit ce qui est loin d'être agréable pour elle. Pourquoi est-elle devenue agoraphobe à votre avis ? Migraines, pertes de consciences, malaises, nausées sont les conséquences et effets négatifs de la base, la structure de son pouvoir. Et elle a beau avoir réussi, désormais, a érigé une certaine protection contre ces agressions extérieures pour pouvoir essayer de ne lire que lorsqu'elle le souhaite, son pouvoir la ronge, la tue à petit feu. Comme un virus le ferait. Mais tout ceci est le fruit d'un virus, n'est-ce pas ? Alors quoi de plus logique que cette mort lente mais inexorable qui se rapproche d'elle un peu plus chaque jour.
#_ VOUS. > PSEUDO; Eavie. > AGE; 17 piges. > COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? Par une certaine Euphemia, alias Crazi, re-alias ma soeur. > CODES; Bon =D. > AUTRES; Le pouvoir de Télépathie est un hommage aux X-Men et à Mélissa de Midnighters. Ça n'a strictement aucun rapport avec une certaine sangsue blanchâtre sur pattes affreusement niaise dont je ne citerais pas le nom.
Qui ne vaut rien face à son homonyme Edouard mais ça c'est vraiment HS par contre alors j'me tais. Et joli design en passant, j'aime bien les couleurs.
Dernière édition par Mackenzie. le Dim 31 Jan - 12:58, édité 1 fois |
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