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Sally Renn.

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Sally Renn. Vide
MessageSujet: Sally Renn. Sally Renn. Icon_minitimeMer 3 Mar - 18:09

Sally Renn. Avatarnuw

S ALLY R ENN

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| ... Nice to meet you.» |
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    > NOM; Renn.
    > PRENOM; Sally.
    > ORIGINE; Suédoise.
    > GROUPE SANGUIN; O ( Zéro ).
    > RELIGION; Aucune.
    > LIEU DE NAISSANCE; Stockholm.
    > DATE DE NAISSANCE; 27 Juillet 2031.
    > AGE; 20 ans.
    > VIRUS; Oméga.
    > ORIENTATION SEXUELLE; Bisexuelle.



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| ... Once upon a wasp.» |
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    Post suivant.


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| ... Description of the mind.» |
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    La première particularité de Sally Renn est qu'elle possède une mémoire photographique inouïe. Elle semble caser les visage et les nom qu'elle rencontre dans son crâne, comme si chacun d'eux était un document classé dans des tiroirs. Un nom est inscrit dans son esprit, associé à une définition physique ou un individu, une description morale et une description personnelle de la personne. Le fait que Sally possède cette mémoire comporte des avantages, bien entendu, mais également des inconvénients. Il y a des choses que chacun voudrait oublier. Des choses qui peuvent traumatiser les esprit à jamais. Des choses sombres qui plongent l'âme dans une certaine forme de décadence. Sally vit avec des souvenirs noirs, elle a appris à les gérer. Le fait qu'elle soit ainsi, en face de ses pensées, la mène à une grande solitude. Sally est une personne très peu charismatique, qui n'aime pas aller vers les gens et qui déteste que les gens viennent vers elle. Elle ne possède aucune sociabilité, ce qui renforce la boule métaphorique de sa décadence dans laquelle elle serait prisonnière. Pourquoi décadence ? Parce que les gens qui l'entourent pensent que sa solitude fait régresser une intelligence qu'elle possèderait depuis longtemps. Certains en viendraient même à dire qu'elle est arriérée mentale. On pourrait effectivement la qualifier au « pire » d'autiste. Mais Sally Renn n'est en aucun cas arriérée mentale, elle serait même dotée d'une intelligence et d'une capacité à comprendre très vive. Mais son physique et ses réactions d'associable trompent Autrui sur sa véritable personnalité. De ce fait, beaucoup la laissent dans son coin, sans venir l'énerver, et elle s'en contente parfaitement. Mais certains aussi désirent l'aider et elle essaye d'éviter tout côtoiement avec ce genre d'individus. Des gens qui veulent l'aider, il y en a eu beaucoup lorsqu'elle était encore en Suède. Son arrivée en Amérique lui a permis la création d'une barrière entre les psychiatres, les médecins, etc. Quoique l'Orphelinat n'est pas un paradis pour elle. Oui, Sally Renn aime la liberté, et la capacité de pouvoir faire ce dont elle a envie, quand elle en a envie, où elle en a envie. L'Orphelinat l'empêchait d'avoir cette liberté et supprimait ses droits les plus précieux. Depuis qu'elle a huit ans, elle fut casée dans ce bâtiment et elle y vécu des jours sombres et ennuyeux, tous semblables. Au début, elle résistait, comme tout les autres. Mais Sally a cette particularité dans son caractère, celle de devenir d'une violence extrême lorsqu'elle se sent menacée. Son seul inconvénient est qu'elle est frêle comme une plume. Elle est rapide comme une guêpe, mais ses coups ne font pas mal, ce qui la handicape énormément lorsqu'elle veut se révolter. Elle a d'ailleurs toujours eu une âme de rebelle et ses révoltes furent nombreuses au début, lors de son arrivée à l'Orphelinat. Elle détestait tout le monde. Non pas qu'elle les aime aujourd'hui, mais elle a compris que sa résistance ne servait à rien. Elle se souvient s'être faite sanglée lors de certaines expériences, et ces souvenirs ne font qu'accroitre sa haine et son désir de vengeance. Mais Sally ne pense pas toujours à vouloir s'en aller. Même si cela n'arrive que très rarement, elle songe à autre chose. Ses principales activités sont les mathématiques et la logique. Elle a toujours adoré les énigmes et elle joue aux échecs comme une professionnelle. Ses talents en informatiques sont repérables, même si elle n'a pas toujours l'occasion de les exercer. En fait, Sally Renn est une incomprise.
    Cette fille n'aime pas les hommes misogynes, un peu comme la plupart des individus femelles. Mais elle, elle agit contre eux. Elle aime les hommes si on prend au sens sexuel du terme, et elle aime également les femmes. Mais l'amour n'est pas et ne sera jamais l'une de ses grandes préoccupations. De ce que l'on sait d'elle, elle n'a jamais été amoureuse et elle ne cherche pas l' « Âme sœur ». Lorsqu'un homme lui adresse la parole, cela a souvent été pour la provoquer ou se moquer d'elle. Elle a forgé son opinion à partir de ce que le monde lui montrait. Pour elle, un homme idiot est presque un pléonasme. C'est aussi à cause de ces moqueries permanentes qu'est née cette solitude et ce manque de sociabilité. Elle a appris à ne pas répondre, ou a lever ses grand yeux noirs d'un air vide vers ceux qui s'amusaient d'elle. Certains le prennent pour du cynisme. Oui, c'est exact, Renn peut être cynique par moment. Elle peut l'être envers les gens qui le méritent. Mais ces gens – là, souvent, le prennent très mal et amplifient leurs railleries ou commencent à devenir de plus en plus méchants. Cela, la plupart du temps, crée un conflit et on a souvent retrouvé Sally Renn, la gueule défoncée, sortant d'une bagarre. Seulement, cette fille n'abandonne jamais. Elle préfère mourir que battre en retraite. Aussi, lorsqu'elle est recueillie, sortant d'un combat, soignée, et qu'elle peut de nouveau agir comme auparavant, elle va se venger, et faire à celui qui l'a maltraitée quelque chose d'encore pire.
    Sally Renn ne connait pas le bonheur. A cause de l'Orphelinat. A cause de son passé. A cause de ce que les gens pense d'elle. Elle ne pense que que c'est de sa faute si elle a des cheveux, des yeux noirs et une allure de mort – vivant. Elle ne culpabilise jamais, ou que très rarement. A ses yeux, elle est différente, et le monde n'arrive pas à l'accepter. Alors, encore et toujours, elle s'enferme dans sa bulle, dans son monde. Lorsqu'elle était plus jeune, on l'a souvent retrouvée à des endroits improbables pour une gamine de dix – onze ans. Elle ne répondait pas quand on lui demandait ce qu'elle y faisait. Elle finissait par dire que ça ne regardait personne. A ses yeux, sa vie ne regarde qu'elle.
    Et je ne vois pas pourquoi ce ne serait pas la vérité.

    > TICS; Pianoter sur la table ; dévisager les individus de son entourage.
    > PEURS; Se faire enfermer quelque part ; ne plus pouvoir bouger ; ne pas savoir la solution d'une énigme / équation ( ce qu'elle prend pour une baisse de logique. ) ; perdre un combat.


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| ... Oh, you look so beautiful tonight.» |
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    Sally Renn n'a pas l'allure d'un mauvais petit diable, comme certains peuvent le penser. Non, si on devait lui attribuer une créature fantastique ou horrifique, ce serait sans aucun doute le zombie. Dans son enfance, ses cheveux noirs étaient courts, en bataille, à peine coiffés, ce qui prouvait sa désinvolture et son ignorance par rapport à ce que les gens pensait d'elle. Ses cheveux étaient donc courts, très noirs, aucun rayon de soleil ne pouvait se refléter dedans. La noirceur de ces épis est restée, bien entendu, lorsque, à son arrivée à l'Orphelinat, elle n'eut plus l'occasion de se couper les cheveux et qu'ils devinrent longs. Ils étaient comme un signe distinctif, quelque chose de pur, de propre, quelque chose qui lui était propre. Elle ne se soucie guère de ceux qui la regarde de loin, quand elle est assise quelque part dans une rue de la ville et qu'elle s'occupe dans des équations impossibles. Le fait qu'on la dévisage ne la gène pas, ou plus. De toute façon, elle – même dévisage le monde qui l'entoure, et même si certains peuvent trouver cela très malpoli, elle n'en a rien a faire. En ne cherche pas à provoquer. Juste à observer. Ses cheveux donc, pour revenir au sujet principal, sont d'une raideur inouïe. Elle n'a jamais utilisé de fer à boucler, elle ne compte pas en utiliser un un jour, mais si elle devait un jour essayer, elle serait sûre que cela ne marcherait pas. C'est ainsi. Ses cheveux sont ceux d'une reine de la nuit. Et elle se plait avec.
    Ses cheveux retombent comme elle. Regardez – la quand elle est debout. Elle est molle, ses bras sont ballants, ses mains sont pendantes et elle traîne des pieds. Elle est de taille moyenne, pas plus de un mètre soixante – dix. Ses doigts sont longs et fins, osseux « en pattes d'araignée » comme disait Ray Bradbury dans Mais à part ça tout va très bien. Et elle a une sorte de manie. Se poser par terre, et entourer ses genoux de ses longs bras pâles. Elle croise tout ses doigts, et pianote sur le dos de chacune de ses mains. Sally a une peau pâle, presque blanche. En fait, c'est un blanc sale, cassé, un blanc os. Elle sait que cela la rend encore plus différente. Toujours, la différence, qui fait que les gens l'évitent. Surtout les hommes. Peut – être que c'est de là que vient sa bisexualité. Mais elle s'en fout. Elle relève la tête. Elle possède un visage fin, toujours recouvert de cette peau étonnamment blanche. Son nez est fin, peu épais, précisément dessiné, presque parfait, un peu pointu. Sa bouche est fine, ses lèvres d'un beige pâle qui se rapproche plus du blanc de sa peau que du rose de n'importe quelle lèvre, sont un simple traits sur son visage. Ses cheveux tombent en mèches ou en frange sur son front, un front toujours aussi pâle, un front assez grand, un espace entre son crâne et ses yeux.
    Ses yeux sont noirs. Des yeux noirs sont très rares, c'est exact. Personne dans sa famille ne possédait des iris telles que les siennes. Il faut dire que ce noir lui va très bien. Il est impossible de détecter sa pupille. Déjà, il est impossible de s'approcher d'elle de si près qu'il serait possible de voir le blanc de ses yeux, sous ses cheveux. Ensuite, si vous en êtes capable, il vous sera d'une très grande difficulté qu'elle vous laisse regarder ses yeux attentivement. Et enfin, comme précisé précédemment, le fait de séparer sa pupille de son iris sans utiliser de loupe vous sera également très difficile. Mais pourquoi ne pas essayer ? Ses yeux sont noirs. Il ne sont pas noir comme un corbeau ou comme la nuit, non. Ces choses – là, bien qu'elles soient très différentes l'une de l'autre, ont un point commun. Elles vivent, elles bougent. Plongez – vous dans les yeux de Sally Renn, et vous vous y noierez sans comprendre ce qui vous arrive. On pourrais qualifier la couleur de ses yeux de noir d'encre ou de noir onyx. L'encre, à moins d'être dans une histoire fantastique scientifiquement impossible à vivre, n'est pas vivante. Et l'onyx est une pierre – un minéral – fine, c'est à dire, familièrement dit, semi – précieuse. L'onyx comme l'encre, n'ont pas de vie. Les yeux de Sally Renn n'accueillent pas la vie. C'est ainsi. On ne voit à l'intérieur qu'un néant infini. Un cauchemar. Peut – être que Sally Renn est un cauchemar. Mais est – ce de sa faute ? A ce que je sais, lorsque l'on nait, on ne choisit pas son physique. Mais elle, elle ne s'en plaint pas. Comme avec tout, elle a appris à vivre avec.
    Sally Renn n'apporte pas beaucoup d'importance à ce qu'elle porte sur elle. Elle n'a pas de goût précis. En fait, elle n'a aucun goût. La plupart de ses vêtements sont des habits noirs, sombres, dénués de la moindre couleur. Elle ne possède presque pas de seins, ce qui lui donne une poitrine complètement plate. Aussi, elle trouve les petits hauts décolletés à dentelle d'une futilité accablante. Mais vous comprendrez bien pourquoi, n'est – ce pas. On pourrait parfois la prendre pour un garçon manqué. Elle s'habille de temps à autres avec un look de sataniste ou de gothique. Des colliers noirs à clous, des bagues, des piercing. Elle possède d'ailleurs un tatouage de dragon qui lui recouvre tout le dos jusqu'au haut de ses fesses. Mais son style, si on peut appeler cela un style, est tout de même très large. Des baggy sombres aux shorts d'été en jean noir, elle porte aussi des sarouel, et autres. En matière de haut, des grands T – shirts, des pulls, des vestes à capuche – Sally aime les capuches. Elle aime avoir la tête couverte par autre chose qu'un chapeau. Elle aime qu'on ne la reconnaisse pas – mais jamais de manteau. Elle trouve qu'un manteau est trop encombrant. Le fait qu'il faille l'enlever à chaque fois qu'elle va quelque part et qu'elle y reste un peu plus de dix minutes la gène. En effet, enlever un pull ou une veste dans ce genre d'endroit n'est pas une nécessité.


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| ... I feel strong today.» |
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    Sally Renn a la capacité de savoir si les gens mentent ou non.


B AD M OON Y ELLOW

    > PSEUDO; Yellow.
    > AGE; 14 ans.
    > COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? Publicité de Shade sur CL.
    > CODES; BON 8D.
    > AUTRES; Ma foi, ce forum me parait génial.


Dernière édition par Sally Renn le Ven 5 Mar - 16:02, édité 4 fois
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Sally Renn. Vide
MessageSujet: Re: Sally Renn. Sally Renn. Icon_minitimeMer 3 Mar - 18:11

    RÉVEIL DANS DES DRAPS ROUGES. 27 Juillet 2031 au 18 Mars 2043.


    Un jour de bonheur pour les infirmiers de l'hôpital. Cet hôpital que personne ne connait, ce genre de bâtiment où l'on pose ses yeux dessus lorsque l'on passe en voiture, on lit le nom, et deux secondes plus tard, lorsque l'on retourne la tête pour regarder la chaussée, on a oublié tout ce qu'on savait sur lui. On l'appellera l'hôpital. Magda était là, elle avait beaucoup souffert. Elle avait souffert depuis qu'elle l'avait rencontré. Lui. Son nom était Vlad, il était d'origine russe. Elle connaissait à peine la ville où il était né. Moscou ? Joukovka ? Nijni Quelque chose ? Elle n'en savait rien. A y repenser, elle ne savait pas grand chose de lui. Il était homme d'affaire, enfin, c'est en tout cas ce qu'il lui avait dit. Il était assez beau, des cheveux bruns plutôt courts, et des yeux chocolat. Il avait une certaine classe, dans sa façon de marcher, dans sa façon de s'habiller, dans sa façon de rire ou de crier. Crier, oui, elle l'avait vu crier. Aujourd'hui, elle repensait calmement à tout cela, presque avec soulagement, alors qu'un long calvaire commençait, il fallait le reconnaître. Vlad et elle s'étaient connu il y a cinq ans de là, lors de vœux pour l'année 2026. Ils avaient échangés quelques propos, il l'avait faite rire, elle l'avait fait rire, et ils avaient chacun gardé un petit souvenir de l'autre, gravé dans leur tête. Mais le revoir fut une grande surprise pour Magda, qui pensait qu'il était reparti en Russie, elle ne savait où, à Moscou, peut – être. Mais dans l'une des rues de Stockholm, elle le revit. En fait, ils auraient pu passer leur chemin tout les deux, mais il s'est passé quelque chose d'à peine croyable. Vous ne me croirez peut – être pas, après tout, mais si vous pensez que je mens, ce n'est pas la peine de lire la suite. Ainsi, Magda sortait aujourd'hui. Elle était avocate, et une sale histoire de panne d'ordinateur et de réveil qui ne marchait pas entraîna un retard de sa part. Maître Magda Sallvikst courait, et en hâte, elle avait enfilé des chaussures très peu adaptées pour ce genre de problème. En fait, elle ne courait pas, non. Elle marchait « rapidement » en tapant fort sur le sol. Elle avait des talons d'au moins sept centimètres de haut, aiguille. Oui, c'est vrai, maître Sallvikst s'était traité de tout les noms en sortant de son immeuble, lorsque, enfin, elle avait remarqué quelle erreur elle avait commise. Elle avait serré ses dents et, regardant sa montre, elle était partie, en priant Dieu le père. Mais au bout de la rue, environ cent mètres plus loin, l'un de ses talons s'est cassé, et elle est tombée à la renverse. Bien sûr, elle n'était pas toute seule dans la rue, beaucoup de monde auraient pu l'aider. Mais lorsqu'on lui demandait si elle allait bien, elle répondait « Merci, oui, je vais très bien. » avec un sourire forcé. Elle se relevait avec un certain effort et commençait à boitiller vers le mur du bâtiment bordant le trottoir. Magda avait regardé sa montre, et elle constatait ses trois quarts d'heure de retard. Elle appela le cabinet et signala qu'elle ne pourrait pas arriver pour le matin, et qu'elle ne viendrait que l'après – midi. Elle n'avait qu'un rendez – vous, et cela ne posait pas de problème à la personne de déplacer, Magda pense même se souvenir que ça l'avait arrangée. Elle souffla, adossée sur ce mur de béton, sa chaussure où manquait un talon la mettant en déséquilibre … Et puis elle entendit un « Madame ! » sur sa droite, et elle tourna la tête en soupirant. Elle vit alors un homme brun, assez grand et physiquement plutôt beau, la regardant droit dans les yeux en lui tendant son talon perdu. C'était assez étrange de se retrouver dans cette situation. On ne tend pas un talon à quelqu'un tout les jours. Mais c'est ce qui arriva, et Magda, épuisée, le prit avec un léger sourire, et elle ne répondit pas. L'homme comprit qu'elle n'avait plus de force pour quoique ce soit et que ça journée était plombée. Puis il lui rendit un sourire radieux et lui dit « Je … je connais un cordonnier pas cher. Il pourra vous dépanner rapidement. ». Il parlait parfaitement suédois, mais avec un léger accent qui lui faisait rouler les R. Elle acquiesça et sourit, cette fois, par une véritable reconnaissance. Elle savait qu'il voulait la charmer. Ou en tout cas, elle en avait l'intuition. Le fait qu'il lui rappela quelqu'un, car effectivement, ces traits, cette voix, faisait penser au déjà – vu, ne passait pas en première place. Elle murmura un remerciement, puis fit volte – face, lentement, pour rentrer chez elle. Elle sentait qu'il la suivait du regard, son déhanchement, sa démarche, ses cheveux longs et noirs, aile de corbeau, se balançant au rythme de ses pas, elle savait qu'il voulait lui dire quelque chose. De sa démarche claudicante, elle s'arrêta et fit mine de souffler. Elle l'attendait. Il ne tarda pas. Avait – il compris qu'elle essayait de l'attirer ? Aujourd'hui encore, elle l'ignore. Il s'avança vers elle et dit « Je connais aussi un bon restaurant, si vous voulez. » Il ne mettait pas de charme dans sa voix, ni de provocation, ses intonations étaient mélodieuses de nature. Elle se retourna et rit. « Au point où j'en suis, Monsieur, je suis prête à accepter n'importe quoi de n'importe qui. » Il rit à son tour, et Magda se souvint de lui. « Attendez … je suis sûre de vous connaître. » Il eut l'air surpris, et elle lui demanda son nom. Il se nommait, de son nom complet, Vladimir Renny Morokov et il était russe. Encore une fois, il lui dit sa ville d'origine, mais Magda l'avait oublié. En revanche, elle s'exclama, après quelques secondes de réflexion qu'elle se souvenait maintenant de lui. Elle lui rappela cette soirée, ces vœux, et lui aussi, il dit avec joie « Ah mais oui, bien sûr, vous êtes Madame Sallvikst ! » Ils rirent tout deux, et elle lui dit : « Je monte me changer et j'arrive, voulez – vous venir ? Je ne peux pas sortir dans cette tenue. » Vladimir lui sourit avec bienveillance et accepta l'invitation.
    Tandis qu'elle se changeait et se refaisait un léger brin de toilette, Vladimir visitait la maison avec un certain enthousiasme. Magda repensa à cette journée. Ils avaient déjeuné dans un restaurant très agréable, et avaient fixé un rendez – vous pour la semaine suivante. C'est ainsi que, chaque mercredi midi, ils déjeunaient ensemble. Ce ne fut qu'après deux mois, lorsque les liens entre eux se furent forgés, qu'ils commencèrent à se fréquenter sérieusement. Vlad avait embrassé Magda après leur déjeuné, et ils voulurent se revoir le soir. Il s couchèrent ensemble ce soir – là, et faire l'amour firent ensuite partie de ce rituel du mercredi – dorénavant entier – Et le fait qu'elle ne se couvrait pas tout le temps aboutit à un test positif. Était – ce une mauvaise chose ? Attendre un enfant de Vlad, celui qu'elle aimait ? Elle lui annonça quelques semaines après qu'elle s'en soit aperçue, et il fut un peu nerveux. Mais il finit pas ce calmer.
    Mais ce calme ne dura pas. Il cessa lorsqu'elle lui dit qu'elle n'attendait pas un enfant … mais deux. Des jumelles. Vlad lui ordonna d'avorter. Elle ne voulut pas. Après des jours de réflexion, il la quitta. « Un enfant, d'accord. Mais deux, je n'y arriverai jamais. » Avec une voix sèche et dure que Magda ne connaissait pas. Et neuf moi plus tard, elle était dans un des lit de l'hôpital.

    Le sang avait coulé sur les draps, et il était rouge, maintenant. C'était un beau aujourd'hui, et même si Magda avait souffert, et qu'elle souffrait toujours, Anya et Mika était nées. Les infirmières s'affairaient autour des bébés et de leur mère, et elles étaient heureuses. Elles avaient réussi, aidé à donner la vie. Seule Magda n'affichait pas de sourire. Elle se sentait perdue. Elle aurait voulu que Vlad accepte et qu'il soit là aujourd'hui, à la soutenir. Magda avait fait des efforts pour ses filles, elle avait eu une alimentation parfaite, elle avait cessé de fumer avec difficulté, mais elle y était arrivée, elle se sentait faible. On lui donna ses enfants, et elle posa sur elles un regard tendre, mais affolé. Les problèmes allaient commencer.
    Anya était une fillette très intelligente. Elle avait les yeux de son père, et également sa couleur de cheveux. Ils étaient longs et bouclés, brillants. Elle était assez belle, dans l'ensemble. Elle possédait un visage rond, un petit nez et des yeux ovales qui paraissaient toujours sourire. Ses lèvres étaient pulpeuse, comme celles de Magda, et elle avait une certaine joie de vivre. Elle n'était cependant pas très courageuse et assez orgueilleuse. Elle aimait être au centre de l'attention, et se comporter comme une adulte la ravissait. Cela n'augmentait pas sa maturité, bien au contraire. Magda l'aimait par dessus tout.
    Mika avait des yeux noirs. Elle possédait les cheveux aile de corbeau de sa mère. Pendant toute son enfance, elle les avait courts, avec des mèches rebelles. Elle avait une bouche très fine, un nez long, et son regard perturbait souvent son entourage. Il était vide. Aucune expression ne le traversait, on ne pouvait jamais savoir ce qu'elle pensait. Elle n'avait pas la beauté de sa sœur et elle ne cherchait pas à l'égaliser. A ce que Magda voyait, Anya et Mika ne s'étaient pas parlé plus de vingt fois en douze ans. Elles vivaient dans deux mondes bien distincts, et Mika ne intéressait pas au monde d'Anya. Sa mère s'était fait beaucoup de soucis pour elle. Pourtant, dans ses yeux, Magda pouvait lire une intelligence inouïe. Mika venait parfois câliner et parler avec sa mère, par amour. Celle – ci voyait bien que sa fille n'avait de l'affection que pour elle. Elle était probablement autiste. Les médecins qui avaient réussi à l'avoir comme patiente – toute force de menace, de provocation ou aide envers Mika était refoulée froidement puis, avec l'âge, violemment. - en avaient conclu qu'elle possédait certains symptôme du syndrome d'Asperger, mais tout les symptômes ne correspondaient pas. Sa mère devenait de plus en plus inquiète. Elle aurait aimé que Vlad soit là.
    Il venait de temps à autres. Pas vraiment pour voir ses filles. Il s'en fichait. Il avait à l'égard de Mika et d'Anya bien peu d'estime. Il venait pour Magda. Coucher avec elle, malgré ses protestations. Magda aimait Vlad, mais elle ne voulait plus avoir de relation avec lui. Ce refus entraîna la violence. Il lui criait après et la battait, au fil des ans de plus en plus. Anya ne disait rien, elle avait peur de son père. Enfin, elle ne savait pas que c'était son père. Mika, quand à elle, connaissait Vlad, ses discussion avec sa mère aboutissaient souvent à des révélations incroyables. Elle détestait Vlad, et avait parfois essayer de lui faire mal. Il l'avait repoussée sans encombre. Une fois, elle l'avait mordu jusqu'au sang, et il l'avait frappée à trois reprises, trois gifles qui restèrent pendant deux jours ancrées dans ses joues. Elle haïssait son père plus que n'importe qui.
    A force que frapper et violer Magda, celle – ci cessa toutes activités professionnelles. Elle était traumatisée par Vlad, qui revenait parfois. Ses venues pouvaient être très régulières comme complètement inattendues. Mika, à partir de dix ans, arrivait armée, et son père la frappait elle aussi. Il l'enfermait dans un placard pour qu'elle ne puisse pas le déranger dans ses actes. Magda devenait une enveloppe charnelle pour un corps vide, et Mika était une boule de haine pure. Le jour où Magda s'évanouit et ne se réveilla pas, Vlad la plaça dans une clinique. Avait – il compris qu'il était allé trop loin ? Ou était – il simplement fou ? En tout cas, Magda fut enfermée dans cette clinique, et ses deux filles ne la revirent jamais.
    Vlad mit Anya dans un orphelinat, en précisant que le père était inconnu, et que la mère était dans l'incapacité de s'occuper de sa fille. Il dit aussi qu'elle n'avait plus aucune famille, ou alors qu'elle était inconnue. Il la rebaptisa Sarah Belkem.
    Quand à Mika, Vlad ne lui réservait pas un sort aussi « doux » que celui de son autre fille. L'histoire du virus tombait donc à pic pour le russe ? Il la donna à Edwin Peyn, ce grand savant américain qui cherchait des enfant en pleine croissance, en la renommant Sally Renn. Un mélange des deux noms ? Effectivement. Aujourd'hui, on pense que Vladimir Renny Morokov avait mixé les noms Sallvikst et Renny pour que jamais sa « petite salope de fille » n'oublie qui il était. Mika Sallvikst est restée à Stockholm, coincée dans un placard fermé à clé.

    Le 18 Mars 2043, Sally Renn avait encore onze ans. Elle posait son pied droit sur le linoléum terne qui recouvrait le sol de l'Orphelinat.


    RÉVEIL DANS DES DRAPS BLANCS. 19 Mars 2043 au 1er Septembre 2045.


    Sally Renn, car elle était appelée comme ça maintenant, voyait parfaitement le visage de Vladimir Morokov devant ses yeux. Juste son visage. On lui avait arraché sa tête de son corps. Elle le regarda attentivement, de son air vide et morne, et un mince sourire se dessina sur ses fines lèvres pâles. Elle le haïssait, lui, sa voix, ses gestes, ses paroles, son physique, son caractère. Elle le haïssait comme elle n'avait jamais haï personne. Elle se maudissait de ne pas lui avoir planté ce couteau dans le corps, au moment où elle l'avait pu. Il y avait eu plusieurs instants remplis d'espoir, mais elle les avait laissés filer. Et puis elle n'avait pas été assez forte, tout simplement. Son père était quelqu'un de grand et de puissant, qui ne se laissait pas avoir comme ça. Elle avait été naïve. Elle avait été trop faible. Mais là, n'était – ce pas sa tête, non … ? Et pourtant, on dirait tellement lui. C'est lui, ça ne peut pas être quelqu'un d'autre.
    Sally Renn ouvrit les yeux. Elle était dans un lit autre que celui de Stockholm. Elle ne se rappelait pas des incidents qui avaient précédé ce lit, cette salle, cet endroit. Elle se redressa. Je suis dans un hôpital. Elle se redressa sur le matelas. Les draps étaient blancs et propres, ils sentaient l'aspirine. Elle remit ses idées en place. Vlad appelant quelqu'un. Amya n'étant plus là. Vlad appelant quelqu'un. L'avion volant une dizaine d'heure. Vlad présentant une certaine Sally Renn. L'hôpital. L'endroit, là, celui qui … Elle regarda par terre. Il y avait du linoléum terne, elle n'arrivait pas à définir la couleur. Magda. Où était Magda ? Sa mère avait été placée dans un lieu inconnu, maintenant elle s'en souvenait. Elle posa son pied à terre. Soudain, elle sentit que Mika Sallvikst était loin derrière. Elle était restée à Stockholm, avec sa haine. Sally Renn haïssait toujours son père. Mais elle avait compris qu'elle ne le reverrait plus jamais. Elle n'aura jamais eu l'occasion de planter un couteau de cuisine dans son corps nu. Et puis elle était heureuse de ne plus jamais revoir ce connard. Sally Renn n'avait pas de chaussure. Elle était vêtue d'une sorte de longue veste blanche. C'était un habit d'hôpital psychiatrique. Son regard balaya la pièce. Sûrement un dortoir, car autour d'elle s'étendaient des rangées de lit semblables au sien. Elle commença à marcher sur le lino froid. Elle repéra la porte de sortie et marcha vers elle, en jetant des coups d'œil de tout côté, au cas où quelqu'un serait là. Elle ouvrit prudemment la porte, qui grinça. Elle regarda dehors. C'était un long couloir, toujours si sinistre et si terne. Il faisait froid. Elle s'engagea à droite. Elle fit trois pas. Un individu apparut au bout du corridor. L'apercevant, elle ne réfléchit pas plus et fit volte – face pour courir dans l'autre sens. L'individu poussa un cri de surprise et s'élança vers elle. Du côté gauche, trois personnes apparurent. Sally Renn freina en dérapant sur le lino lisse. Le sol fit un couinement désagréable. Les trois silhouettes se mirent à accélérer et lui bloquèrent le passage. Elle regarda du côté droit. Un seul gars lui barrait la route. Analyse de conséquences. Elle courut, plaquée sur le mur de droite. Il essaya de l'attraper lorsqu'elle passa à sa hauteur, mais elle se baissa au dernier moment. Il poussa un juron et s'engagea avec les trois autres à sa poursuite. Sally Renn avait presque atteint le bout du couloir qu'un colosse se mit entre elle et l'espoir. Elle voulut s'arrêter, tourner, feinter, faire quelque chose qui ne serait pas stupide, mais au lieu de cela, elle ne put freiner et atterrit dans les bras de ce monstre. Il la maintint fermement bloquée, tandis qu'elle le mordait, qu'elle gesticulait et qu'elle lui plantait ses ongles dans sa chair. Mais rien ne parut lui faire de mal et il la rapporta dans le dortoir, suivi par les quatre autres. On lui injecta tout sortes de substances et elle se sentit ramollir. Elle lutta pour rester éveillée, mais cela s'avéra impossible et elle sombra.
    Sally Renn fut l'une des personnes les plus coriaces à garder immobile dans tout le bâtiment. Elle essayait bien des choses pour s'enfuir. Elle voyait chaque jour de nouveaux lits vides, et le jour d'après, un nouvel enfant y prenait place. Une semaine après son arrivée dans l'Orphelinat, elle fut sanglée à son lit. Elle maudit son père, elle maudit ceux qu'on appelait les Bêta, elle maudit l'Orphelinat en entier. Et un mois après son arrivée, les Bêta l'ont détachée, et, la maintenant fermement entre leurs bras et leurs mains, ils la sanglèrent sur un nouveau lit. Un lit qui était dans une salle bien plus petite que le dortoir. On aurait dit … un laboratoire. Des millions de petites choses étaient rangées dans des millions de tiroirs et d'armoires vitrées. On l'attacha donc à un lit au milieu de la pièce et, par crainte, on la maintint aussi par des nombreuses mains, plaquées sur ses jambes, ses bras et sa poitrine. Je les déteste. Qu'est – ce qu'ils vont me faire ?! Sally Renn vit la seringue. L'aiguille se planta dans les veines de son avant – bras droit. Le virus ne tarda pas à prendre possession de tout son corps. « Ça, ça va te calmer, l'attardée. » L'un des Bêta avait dit ces mots. Il était derrière les autres. Mauviette, va.
    Mika Sallvikst avait définitivement disparu. Sally Renn lui avait pris son corps, pour devenir un monstre.
    Sally se réveilla dans les draps blancs d'un nouveau lit, d'un nouveau dortoir. Même si les salles étaient toutes les même et qu'elle se trouvait au même emplacement que le dortoir précédent, elle savait qu'elle n'était pas dans son lit. Il n'y avait pas les même rayures sur le bois de sa table de nuit, et de la fenêtre, on voyait une autre vue que celle du dortoir précédent. Sally se sentait morte. Elle savait que quelque chose s'était déroulé dans la Salle. Mais quoi ? Elle se redressa. Non, elle n'était plus sanglée comme avant, non, les sangles n'étaient pas serrées contre son ventre, non, elle n'avait plus mal à cause des sangles. Elle posa le pied à terre, comme pour son premier jour, elle refit les mêmes gestes que lors de son premier réveil et, arrivée à la porte de sortie, elle s'arrêta. Non, tu ne le feras pas. Et elle ne l'a pas fait. Et elle ne l'a jamais fait.
    Et les années passèrent. Toutes semblables. Quatre ans et demi. Jusqu'à ses quatorze ans. Le premier septembre 2045, on la lâcha dehors, elle et son don. Impossible de mentir devant Sally Renn.
    Le lendemain, elle se réveillait dans la rue. Sans draps.





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MessageSujet: Re: Sally Renn. Sally Renn. Icon_minitimeMer 3 Mar - 18:13

    Bienvenue a toi =D,
    il manque deux codes.

    Sa fait plaisir de voir des nouveaux membres <3.
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MessageSujet: Re: Sally Renn. Sally Renn. Icon_minitimeMer 3 Mar - 18:17

  • Merci :] Je cherche les codes ^_^


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MessageSujet: Re: Sally Renn. Sally Renn. Icon_minitimeMer 3 Mar - 18:21

    Il me semble que ceux qui manquent sont ceux de l'histoire.
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MessageSujet: Re: Sally Renn. Sally Renn. Icon_minitimeMer 3 Mar - 18:27

    Oh, Yellow, saloute =)

    [ Le fait qu'on ait déjà un Ren sur le forum ne risque pas de poser problème ? ]
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MessageSujet: Re: Sally Renn. Sally Renn. Icon_minitimeMer 3 Mar - 18:29

    Shade => Pour le nom tu as raison, je sais pas trop si sa dérange Candoo ou pas.
    Yellow tu devrait lui demander par MP =).
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MessageSujet: Re: Sally Renn. Sally Renn. Icon_minitimeMer 3 Mar - 18:38

Welcom' =D
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MessageSujet: Re: Sally Renn. Sally Renn. Icon_minitimeMer 3 Mar - 18:47

    Effectivement, j'avais zappé le fait qu'il y avait des codes dans l'histoire. Mais j'les ai trouvé :]
    Shade : Saloute, Camarade =)
    Pour le nom, je vais lui demander directos :3
    Yumï : Thanks =D

    EDIT : Code mis, et j'ai envoyé un MP :]


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MessageSujet: Re: Sally Renn. Sally Renn. Icon_minitimeMer 3 Mar - 20:50

    Bienvenue 8D.
    Bon courage pour ta fiche =).
    J'ai pas encore lu la fiche, mais rien qu'en voyant ton pouvoir, je sens que j'aurais envie de Rp avec toi <3.
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MessageSujet: Re: Sally Renn. Sally Renn. Icon_minitimeMer 3 Mar - 21:55

    Merci :3
    Et pour le RP, je n'y vois aucun problème :] Avec plaisir ♥️

    EDIT : Avatar et signature mis :] L'histoire arrive :3
    RE EDIT : Histoire finie :3 Plus que le physique =)
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MessageSujet: Re: Sally Renn. Sally Renn. Icon_minitimeVen 5 Mar - 16:06

    Sorry du DP, mais j'ai fini ma présent' :] Le fait que sur ma signature Sally ait les yeux gris clair à gauche n'est pas à prendre en compte. La graphiste qui me l'a faite à dit que si elle les mettait noir, ça faisait très moche, donc ... :/
    Pour l'histoire du nom Renn, je n'ai pas encore eu de réponse de la part de Ren, donc je suis d'accord pour attendre avant la validation. Au pire je change en Rann ou Runn maintenant x3
    Voilà : D
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MessageSujet: Re: Sally Renn. Sally Renn. Icon_minitimeVen 5 Mar - 16:22

    Validée <3.
    Tu changeras ou pas selon la réponse de Ren plus tard, mais je ne vais pas t'empêcher de jouer ^^.
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MessageSujet: Re: Sally Renn. Sally Renn. Icon_minitimeVen 5 Mar - 16:34

    C'est pas grave pour ta sign, moi je trouve ça bien. Tu est la seule personne qui en a une graphée.

    Non je te valide c'est bon, tu changera ou pas quand elle t'aura répondu.
    N'oublie pas d'aller te faire mettre un rang, créer ta maison, faire répertorier ton don et voila il me semble.

    Bon jeu a toi =D.
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