Saska est née avec des parents aimants mais pas au bon moment et pas non plus volontairement en réalité. Vous connaissez la jeune Carrie Scott ? Non ? C’était une jeune fille aux yeux d’un bleu peu répandue et aux longs cheveux blonds / roux. Un étrange mélange des deux. Et l’activité préférée de Carrie ? Passer ses nuits sous les lumières aveuglantes des boites, boire jusqu’à dépasser ses limites et fumer dix cigarettes par jour. Pourtant elle avait tout : la beauté et la popularité, les notes. Mais elle préférait consacrer sa vie à la dépravation. Ô jolie et innocente Carrie. Elle aimait plus que tout son petit copain : Nathaniel Williams. Un rebelle solitaire aux mauvaises fréquentations et au caractère de chien sous ses cheveux noir ébènes et ses grands yeux bruns. Et un soir arriva ce qu’il devait arriver. La passion, l’amour et au diable cette satanée prudence ! Pourtant jeune Carrie tu t’en es mordue les doigts jusqu’au sang quand tu as appris que tu étais enceinte et qu’il était trop tard pour avorter. Et pendant neuf mois, tu as détesté cet enfant et tu t’es privée de tous ce que tu aimais. Neuf mois on t’as regardé, tes ennemies admirant ta chute violente. Ton éternel amour agacé par tes sarcasme t’as abandonné derrière lui sans regrets. Tu as senti ton corps se déchiré de douleur, tu as hurlé, tu as crié mais personne n’a entendu tes appels au secours que bien tard dans la nuit. Rejetée de tous, isolée et n’ayant plus de famille. Tu t’es retrouvé dans l’hôpital froid, dans une chambre tellement impersonnelle, un monde gris et froid. Toutes tes larmes, toute ta force et tes larmes ne te sortiront pas de ce pétrin. Tu as tout perdu et qu’as-tu aujourd’hui ? Cet enfant, cette petit fille. Saska. Tu ne veux plus la voir, tu ne la veux pas. Pourquoi ce nom ? Tu lui as donné le nom de ta mère, celle que tu as toujours tant détestée d’être partie. De t’avoir abandonné à l’aube de tes cinq ans en te laissant avec ton père. Tu l’as toujours détesté pour ça. Autant que tu hais cette enfant. Pourtant on te l’a donné, tu voulais l’abandonner toi aussi. Mais tu l’as prise dans tes bras et elle t’as souris. Un sourire. Et tu l’as aimé. Peu importe le passé, tu l’aimais, tu l’aimes et l’aimeras à jamais. Ton beau Nath a appris que sa fille était née et il t’es revenu, te voyant changée. Vous avez quitté votre belle Angleterre pour vous installer en Amérique où la vie était moins chère. Une année…Puis Deux…Mais jamais vous n’aurez plus votre fille, le travail se fait juste et vous ne gagnez pas assez. Vous avez pourtant bercée votre enfant ses deux premières années avec tout l’amour possible. Mais ce scientifique Edwin Peyn voulait leur fille, pourtant ils ont refusés jusqu’au bout. Pour leur fille. Mais un jour quelques coups de feu et Saska a connu le noir. C’effrayant de pendant le noir pendant trois ans, l’isolement. Un jour pourtant on l’a sortie de son enfer pour l’emmener dans un autre enfer. Petite Saska, lui répétait-on, ne crains pas, nous ne te voulons pas de mal. Et pourtant ils l’ont étudié comme un animal de foire, ils lui ont injecté un virus, ils l’ont traité comme un animal. Une seule personne pourtant était appréciée par Saska : Sao. Elle y tenait de toutes ses forces, c’était sa bouée dans ce monde où elle dérivait. Pourtant a quatorze années, on l’a laissé partir. Partir loin sans son ami, sans son Sao. Elle a commencée a errer mais en un an, elle a n’est pas allez très loin au niveau financier. Mais elle s’est ouverte, elle peut s’ouvrir aux autres à présent. Saska attend néanmoins toujours son cher ami : Sao. A présent Saska économise pour un appartement avec si possible un colocataire. Parfois, elle a des souvenirs. D'une voix douce et aimante, d'une femme qui lui ressemble. Et ce qu’il faut savoir c’est qu’elle ne s’est jamais non plus séparée de son ourson en peluche surnommé Winnie, qu’elle a de sa mère.

Saska, c’est quelque chose. Et vous le savez dés que vous la voyez, du haut de ses quinze ans se trimballer avec son ours en peluche. Jamais elle ne s’en sépare. Elle l’a toujours avec elle et c’est son bien le plus précieux. C’est ce qui la relie à sa mère. Quand vous la verrez aborder des inconnus pour leur poser des questions qui frisent l’insolence et qui sont très gênantes à poser. Quand vous la verrez sauter et ressembler à une enfant de cinq ans, quand vous la verrez déborder de vie. Vans vous la verrez s’excitée pour un rien. Mais on ne peut nier qu’au fond elle est plus qu’attachante à toujours sourire, à toujours pétiller de vie et d’énergie. A être gentille avec tout le monde et un brin naïve, à tel point que ça en est tentant de vouloir la mener en bateau. Pourtant il est étonnant de voir avec quel facilité la jeune fille aborde et tisse des liens avec les gens. Autre point à noter : elle tient à Winnie son ours mais il sert aussi pour taper les gens gentiment ou pour bouder. Winnie se révèle être une peluche aux multiples fonctions. Et aussi à se boucher les oreilles car la miss a tendance à parfois émettre des bruits assez aigu lors qu’elle est étonnée, surprise ou effrayée par exemple. Saska a un cœur gros comme ça. Elle aimerait adopté tous les petits chats qui traînent, promener tous les petits chiots et jouaient avec tous les petits animaux abandonnés. Et il faut souvent la forcer pour qu’elle s’en sépare. La miss est aussi une experte au boudage intensif et je vous assures qu’elle peut tenir longtemps. Autre fait à noter : Saska a un côté très fleur bleue et le prince charmant, la romance les histoires d’amours…Elle rêve de vivre un conte de fées tout simplement, d’être une cendrillon moderne. Malheureusement l’adolescente peut aussi avoir des crises, des crises d’angoisse. Elle peut commencer à entendre des voix, elle commence littéralement à paniquer. Tout est flou, elle a du mal a distinguer les choses, tellement elle est terrorisée. Elle s’énerve facilement, elle veut fuir ce sentiment. Une chance qu’elle ne soit pas très grande ou très costaude, il est ainsi plus facile de la tenir, le temps qu’elle se calme.

Saska est de très petite taille et ne dépassera jamais le mètre quarante et un. C’est l’un des premières choses qu’on a tendance à remarquer chez elle. Elle a un corps mince, élancé aux traits fins. Sur son visage blanc se dessinent deux grand yeux marrons, presque noirs qui sont juste au-dessus de deux fossettes bien roses. Saska a aussi des cheveux assez long d’une jolie couleur presque orangée qui attire et intrigue un bon nombre de personnes. Elle a une petite bouche, peu épaisse mais particulièrement souriante et chaleureuse. L’adolescente favorise souvent les jupes avec ou sans collants ou les shorts et accompagne souvent le tout avec des bottes. Mais elle n’a pas un style particulier et parfois cela peut-être le jean, paire de converses et le T-shirt tout simple avec une petite cravate comme accesoire. Néanmoins elle a tendance à accorder pas mal d’importance aux petits accessoires et aura souvent un béret, un chapeau, une casquette ou une fleur dans les cheveux. Ou alors un foulard ou un sac à main. Saska adore donner une importance capitale à ses accessoires. Même s’ils semblent assez anodins. Un simple bracelet peut faire l’affaire. La jeune fille adore aussi utiliser ses cheveux, sa coiffure pour mettre en valeur une tenue. Elle aime donner de l'importance aux détails

Saska a la faculté de pouvoir se transformer en louve qui a le pelage de même couleur que ses cheveux. Sous sa forme lupine, elle comprendra l'homme mais ne pourra pas lui parler. Elle ne maitrise pas sa transformation en loup mais c'est souvent lorsqu'elle n'a envie de fuir, néanmoins c'est assez imprévisible.