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| > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} | |
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Auteur | Message |
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Jûshi.is Immune to Fear.
Messages : 96 Date de naissance : 21/01/1993 Age : 31 Date d'inscription : 29/12/2009 Virus : Omicron. Pouvoir: : Matrix. Age : 27.
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Ven 26 Fév - 20:32 | |
| [ Merci =) ]
Soupir de lassitude. Il se faisait déjà chier comme un rat crevé au fond d'une baignoire elle-même située sur la tombe d'une carpe aphone au beau milieu de la cambrousse de Corée du Nord en plein hiver, la nuit. Par temps brumeux.
Un coup d'oeil sur la droite lui indiqua que d'autres s'emmerdaient aussi, le long du mur des blasés. Ou alors ils faisaient semblant. Enfin, en tout cas, ils n'avaient pas l'air de s'éclater à mort comme dans la super teuf du millénaire de la mort. Un coup d'oeil sur la gauche et la même rangée de statues humaines s'alignait elle aussi contre le marbre glacé des fortifications du Manoir de Prostipute. Un coup d'oeil devant, et... le contraste était remarquable. Il suffisait de s'éloigner ne serait-ce qu'un tout petit peu de la zone d'ombre où il s'était niché pour se retrouver dans une espèce de ballet de vie gerbant à souhait. Ca ricanait, ça gloussait, ça dindonnait, ça se dandinait, battait des paupières, des cils, des paupières et des cils en même temps, ça exhibait des rangées de quenottes plus ou moins alignées et relativement blanches, ça fanfaronnait, sortait des blagues de merde, riait à des blagues de merde, s'offusquait pour des blagues de merde, tentait de retenir des blagues de merde, essayait d'entrer dans le Guiness des Records New Generation dans la catégorie Blague de merde de l'Année, bref, c'était la folie des grandeurs avec ses couleurs chatoyantes qui explosaient les yeux et son atmosphère lourde à souhait qui... avait-il déjà dit que c'était gerbant ? Bien entendu, lui, en sa qualité d'être particulièrement méprisant, s'affairait à conserver son image de marque et irradiait littéralement l'assemblée de ses mauvaises ondes. En toute discrétion. Il en venait à regretter, de plus en plus, vraiment. Le seul bon côté des choses était que le champagne valait le coup. Le truc, c'était qu'il n'était pas en gros trip adolescent sur l'alcool et la soit-disant classe que pouvait avoir un jeune homo sapiens en se bourrant la gueule à grandes goulées fermentées, et qu'en conséquence ça le laissait relativement indifférent. De toute façon, mieux valait éviter de voir des types à deux têtes et de se la jouer égocentrique au point d'avoir l'impression que le monde tourne autour de soi. En clair, un abus d'alcool n'était pas franchement conseillé pour les gens comme lui, dans le cadre de la soirée, de ce qui était supposé se dérouler. Il se demanda s'il pouvait assainir son champagne, là, tout de suite. Il se dit que c'était possible, que c'était même sans doute très facile à faire. Mais il ne le fit tout de même pas. Il se contenta de desserrer légèrement le noeud noir qui enserrait son cou, sentant son malaise augmenter. Parce que oui, Jûshi pouvait connaître le malaise. Non, Jûshi n'était pas fait pour ce genre de chose. Putain, Jûshi regrettait.
Une sensation désagréable lui fit reporter son attention sur la zone Occidentale de son petit monde à lui. Quelque chose l'avait fait tiquer. Ce genre d'impression, il ne la connaissait que trop bien. Et il savait la différencier de la véritable paranoïa. Ses yeux bleus scrutèrent avec attention les environs, s'attardant sur chaque silhouette, chaque ombre, chaque fanfreluche, chaque masque. Toi, non. Toi, non. Toi... ah, toi... Une fille, là-bas. Pas bien grosse, habillée en noir, en blanc, en argent. Avec un loup vénitien sur la gueule, elle aussi. A peine eut-il le temps de la remarquer qu'elle le quittait des yeux, laissant l'énervante sensation de brûlure dans sa nuque s'atténuer, disparaître. Il plissa les yeux, perplexe. Merde, il avait réussi à attirer l'attention sans rien faire ? Pas sûr. Cette silhouette lui rappelait vaguement quelque chose. Vaguement. Ou pas. C'était bien dans ce genre de moment que son manque d'intérêt pour autrui s'imposait avec fracas. Finalement, il n'en avait aucune idée. Et plus il y pensait, plus il oubliait, moins il était sûr. Il fixa, encore, de loin. Puis, après quelques longues secondes, abandonna. Ca servait à que dalle, de toute façon. Son dos retrouva le mur, et ses lèvres effleurèrent encore une fois le cristal de sa coupe. Ses papilles s'affolèrent suite à la décharge du liquide doré dans sa gorge, et il avala. Presque tout son verre était vide. A croire que ces enfoirés de bourges étaient radins sur la dose, après tout il ne buvait pas comme un trou. Il soupira de plus belle, et s'arracha de nouveau au mur. En un clin d'oeil, le reste de champagne était liquidé, et Jûshi l'homme de l'Ombre se risqua à émerger au grand jour. Il quitta les ténèbres réconfortantes qui l'abritaient jusque là et se lança à corps perdu dans la bataille, rejoignant la foule et tout ce qu'il détestait tant, rejoignant la musique, les conversations, rejoignant la couleur. Il esquiva de quelques pirouettes les corps qui se trouvaient sur son chemin. L'excursion en terre interdite se devait d'être brève, et il espérait parvenir à ses fins en un temps record. Objectif ? Aller reposer son verre vide sur la table, là-bas. Erh, il s'embarquait de nouveau dans un challenge de fou et risquait fort d'y laisser sa putain de peau, et sa carcasse avec. En bonus. Jûshi, c'était trop un kamikaze.
Et peut-être un peu un type superficiel. C'était surtout qu'on avait l'air con, quand on poireautait comme une merde dans un coin, avec un verre vide dans la main. |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Ven 26 Fév - 21:03 | |
| La jeune fille soupira cette femme qui n'était qui pouf aux yeux de Kayla n'était toujours pas arrivée, elle avait peut-être cassé sont talons en arrivant à hauteur des escaliers. Non, décidément ce n'était pas ça, il y aurait déjà tout un amassement de bourgs autour d'elle, faisant les faux culs comme jamais. Ou alors, sa jolie robe qui à mal résisté à la machine à lavé. Après tout, tout le monde sait que les laves-linges sont de vilaines créatures venue de là où personne n'en n'est revenus... Harm, elle vida son verre sur cette agréable pensée, enfin si on veut ! Elle fixa plusieurs personnes, regardant ce qui clochait dans leurs accoutrements. Ce fut une dame en premier, celle-ci portait une ridicule perruque, on pourrait croire la tour de Pis tellement elle valsait de droite à gauche. Puis, c'est horribles ballerines vertes pas du tout accordé à sa longue robe de grand-mère. On n'est plus au moyen-âge ! Il faudrait peut-être le rappeler à certaines gentes personnes ici présent... Un vieil homme passa, il devait avoir dans la soixantaine. Il s'arrêta prés du buffet en s'enfila bien cinq boissons un peu alcoolisées en même pas une minute ! Le vieux remarqua que Kayla le regarder avec des yeux étonné et lui sourit... de ses quatre dents. Une voix vint la dérangée dans ses pensées si profondes. Une fille visiblement, c'est pas dur, plus âgé qu'elle lui parla. Kayla lui répondit avec sourire joueur et un ton qui n'était en aucun cas celui d'une gamine.
- Oui, en effet... Je me demande se que fout Lisa, pas toi ?
La demoiselle appela un jeune homme, le remercia et prit un nouveau cocktail. Elle avait faim mais ne voyant que des choses pas très appétissante sur longue table vêtue d'une nappe, elle ne fit comme si de rien, jetant des regards un peu partout à la recherche d'un simple bout de pizza. Kayla souffla nerveusement sur sa mèche. Elle voulait absolument manger quelque chose avant de foutre le bazar, en profiter un peu tout de même ! Sur le banquet, la jeune fille remarqua quelque chose, ce n'était pas très grand mais suffisant : un morceau de tarte, seul survivant des criquets bourgeois. Kayla avança lentement vers celui-ci, comme si elle venait de découvrir un trésor. Elle vit une main se poser dessus, s'apprêter à le prendre. L'omnicron grogna puis se rappela qu'elle devait passer ni vu ni connut jusqu'au signal. Elle se racla la gorge avant de demander.
- Excusez-moi mais puis-je prendre cette part ?
Le garçon lui jeta un sale regard avant de partir... sans le bout de tarte. Kayla s'en empara sans attendre et revint là où elle avait laissé l'autre jeune demoiselle, croqua dans la friandise aux pommes et ferma les yeux tellement s'était bon. |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Dim 28 Fév - 22:06 | |
| ( Hayden c'est à toi ) Sorry pour le double poste |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Dim 28 Fév - 22:13 | |
| Le tour d'Hayden saute. Elle a eu tout le WE. |
| | | Euphemia.Fuck me like you hate me.
Messages : 57 Date de naissance : 19/06/1995 Age : 29 Date d'inscription : 01/01/2010 Virus : Omicron. Pouvoir: : Contrôle du Métal. Age : 17 ans.
| | | | Abe.> Fondatrice & Admine. The sardine (?) was sick.
Messages : 973 Date de naissance : 31/12/1996 Age : 27 Date d'inscription : 02/12/2009 Virus : Omicron. Pouvoir: : Donner son énergie vitale. Age : 18 ans.
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Mar 2 Mar - 16:29 | |
| Okay, merci d'avoir prévenu =]. |
| | | Euphemia.Fuck me like you hate me.
Messages : 57 Date de naissance : 19/06/1995 Age : 29 Date d'inscription : 01/01/2010 Virus : Omicron. Pouvoir: : Contrôle du Métal. Age : 17 ans.
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Mer 3 Mar - 22:50 | |
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« Au bal masqué, je suis masquée » Une coupe de champagne suivit la première. L'alcool doré pétilla sur sa langue, coula à l'intérieur de sa gorge et descendit le long de sa tranchée. La sensation du froid de la boisson la fit frissonna la première fois mais elle s'habitua bien vite. Son regard noisette balaya la salle de long en large. Rien d'intéressant à l'horizon. Et pourtant elle était arrivée depuis une bonne dizaine de minutes, et normalement la classe sociale élevée ne restait pas sans faire quelque chose d'intéressant. Enfin quoique peut-être que la définition du mot 'intéressant' chez les bourges et chez Euphemia était très différente. Oui, ça devait sans doute être ça. Plusieurs personnes se dirigèrent vers le buffet, attrapant ses petits amuse-bouche pour les savourer tranquillement, d'autres se dirigèrent vers la fontaine à champagne qui semblait fasciner beaucoup de riches personnes. Elle se tenait appuyée contre un poteau de marbre blanc taillé avec précision et délicatesse. Le contact froid de la pierre couleur neige ne la dérangeait plus. En à peine quelques minutes, la chaleur avait augmenté dans la pièce remplie par tous les invités. Leurs conversations créaient d'ailleurs un son de fond qui bourdonnait aux oreilles de la jeune Omicron. Des invités arrivés encore et encore, et dans les allées et venues des convives une personne attira son attention. Ses prunelles marrons se posèrent sur cet inconnu suivant ses pas parmi les invités. Habillé de noir et de gris, un masque unique posé devant ses yeux, il semblait de son âge voir légèrement plus jeune. Un instant, ses yeux se tournèrent vers le haut des escaliers où se trouvait un Delta, Edwin et Gabriel. Et l'instant d'après, elle perdit de vue l'inconnu qui avait stopper son passage aux 'rayons X' de la salle. N'ayant plus de distraction, Effie ferma un instant les yeux réfléchissant au moment où le signal serait donné. Rien qu'à ses pensées, un sourire impatient se dessina sur ses lèvres. Ses paupières se soulevèrent pour dévoilaient ses prunelles dans lesquelles brillaient une lueur malicieuse. Et soudain, elle l'aperçut. L'inconnu, qui d'ailleurs se révélait ne pas en être un, se tenait devant elle et venait de lui proposer une danse. Et c'était avec un sourire amusé par cette demande, qu'elle lui répondit.
« Avec plaisir. »
Euphemia attrapa son bras, et laissa son esprit s'emplir de la mélodie qui résonnait dans la salle. Ses pas s'accordèrent à ceux du jeune homme, et ses mouvements se firent plus fluides. Un sourire espiègle glissa le long d ses lèvres, et avec délicatesse, elle murmura à l'oreille de son partenaire. Qu'elle avait reconnu malgré son masque. Enfin plutôt grâce à son masque.
« Personnellement, je préfère ton côté cheveux en pétard, jean and co' que ton côté bien coiffé et habillé chicos. Enfin ce n'est que mon avis. »
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Ven 5 Mar - 2:54 | |
| Je saute mon tour, désolée. J'arrive pas à écrire :s |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Ven 5 Mar - 10:31 | |
| C'est pas grave Siumi, tant pis ^^. Bientôt le tour de Lisa <3.
PNJ. Edwin arrête de téléphoner et s'appuie sur la balustrade à côté de Gabriel.
Que de nouveautés 8D. |
| | | LilianTrilobyte cubique bouffeuse de boulets.
Messages : 140 Date de naissance : 03/06/1995 Age : 29 Date d'inscription : 30/12/2009 Virus : Oméga Pouvoir: : Contrôle de la gravité Age : 15 ans
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Ven 5 Mar - 19:40 | |
| [Désolée, mon ordi est mort... Jpeux pas rp jusque dans deux semaines maximum, donc je passe mon tour. Vraiment désolée ._. ] |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Ven 5 Mar - 20:31 | |
| C'est une grande maison. A la fois isolée et proche de la ville, elle constitue un endroit parfait pour de riches urbains à la recherche de calme. Pourtant, elle n'est habitée par personne. Il y a des années que personne n'a poussé la porte de la maison. Des années que personne n'a monté les escaliers de marbre. Des années que personne n'a parcourut les couloirs. Des années que personne n'a ouvert les volets. Que personne n'a tiré les rideaux, laissant les grandes pièces dans l'ombre. Que personne n'a pris son petit déjeuner sur la grande terrasse. Que l'odeur du pain en train de cuire ne s'est plus répandue à travers le bâtiment. Et que plus personne n'a dansé sur les carrelage en marbre. Ce carrelage, c'est un des symboles de la maison. Un des éléments les plus marquants. Et personne n'ira me contredire. Rien n'a changé depuis la dernière visite des propriétaires. Les assiettes dans leurs placards, la grande rampe des escaliers, les tableaux ennuyeux des couloirs, la soie des draps, les meubles chers des différentes pièces, l'emplacement de chaque objet, au millième de centimètre près. Et cette seringue sur le sol blanc de la plus grande chambre, seul anachronisme dans ce château de princesse. De la drogue? Non, jamais. Sur ce bout de plastique cylindrique, il y a une étiquette blanche. Le temps a peu à peu fait disparaître l'encre, mais on peut encore lire ce qui y est écrit. A. 2. C'est une seringue d'Alpha 02. Et allez savoir à qui elle a appartenu. Et pourquoi elle est restée là, abandonnée, comme si ses propriétaires étaient trop presser pour s'occuper de la jeter. C'est d'ailleurs le cas. Lorsque l'un est Alpha, on ne voit plus le monde de la même façon. C'est une des raisons pour lesquelles la belle Lisa, princesse du château et âgée d'à peine dix-huit printemps, s'en est allée, abandonnant tout. Mais ce ne sont que des biens matériels. Lisa avait déjà abandonné bon nombre de choses. Son enfance, sa famille. Dans cette maison, il n'y ni souvenirs, bons moments. Il n'y a rien. Ces choses brillantes et chères ne représentent pas grand chose face à une vie. C'est ce pourquoi elles sont encore là. Mais si tout est encore à sa place, le temps n'a pas eu pitié de la villa, pauvre bâtisse abandonnée, et on peut voir partout ce qui n'a pas put être préservé. Le lierre, content de la liberté que lui a offert le départ des jardiniers, a fait des murs extérieurs de la maison une véritable forêt vierge. La poussière a recouvert les meubles de son grand manteau gris, donnant à l'endroit un air lugubre et triste. Quelques araignées ses sont proclamées reines de la maison et il n'est pas rare de voir leurs toiles. Que ce soit de près ou de loin qu'on la regarde, un chose est claire: Ca fait bien quatre ans que personne n'y a mit les pieds.
"Et c'est la que je lui ai dit: "Cette maison? Ca fait déjà quatre ans qu'elle est plus habitée!" Et il me croyait pas, c'te con. 'Faut dire qu'il perd un peu la boule, M'sieur Richard. J'veux pas dire, mais j'pense que la mort de leur fille les a traumatisés, c'pauv' vieux. Comment qu'elle s'appelait d'jà? Abby? Déméa? Peuchère, comme le temps passe vite! J'me souviens même plus d'son nom. 'Faut dire que j'me fais vieux, moi aussi! Haha."
Jacasser. "Bavarder bruyamment.". Synonyme: Caqueter. "Jacasser comme une pie". C'est ce que vous dirait le dictionnaire. Lisa, en petite lady de neuf ans, vous aurait dit: "C'est l'action babiller en provoquant un son proche du bruit qui a tendance à être dérangeant pour les personnes alentour.". La Lisa de quinze ans vagabondant dans les rues vous aurait ignorés et la nouvelle Lisa, celle de ce moment précis, vous aurait répondu que c'est justement ce que vous étiez en train de faire, et vous aurait renvoyés à votre travail illico presto avec un air énervé et furieuse d'avoir été dérangée pour une chose aussi futile. Ou vous aurez torturé. A voir.
Le chauffeur du taxi, un homme quelque peu enrobé avec une grosse moustache et une chemise sur laquelle apparaissait une tache faite par une sauce peu identifiable, était justement en train de jacasser. Il parlait, parlait et parlait. A se demander s'il s'arrêterait un jour. En une toute autre journée, Lisa lui aurait lancé un regard réprobateur qui l'aurait fait taire une bonne fois pour toute, mais ce jour là, elle n'avait pas la tête à ça. Elle était troublée. Ce qui se voyait, puisqu'au lieu des tenues classes habituelles, elle avait enfilé une robe d'hiver - classe, tout de même - et des ballerines assorties, mais surtout parce qu'elle avait avalé un café, était descendue en trombe de son appartement, et avait pris le premier taxi qui passait sans vraiment faire attention à son état. La Lady se retrouvait donc dans un vieux taxi rouillé, de couleur jaune, voire jaunâtre, dont le pare-chocs était défoncé, et que les oiseaux semblaient s'être amusés à décorer de crottes, jaunes et marron, pour ceux qui n'ont jamais vu de crottes de pigeons. Et l'intérieur de l'engin n'en était pas moins pathétique. Les sièges de vieux tissus pleins de miettes et de taches dont il ne valait mieux pas connaître la provenance, troués par endroits à cause de cigarettes maladroites et d'un tissu de trop mauvaise qualité, différaient fortement des sièges de cuir beige des taxis habituellement pris. Dans l'air régnait une odeur bizarre, comme un mélange de fumée de cigarette, de sueur, et de nourriture oubliée par mégarde. Une véritable puanteur. A côté du conducteur insupportablement bavard, on pouvait voir un tableau de bord qui avait, sans exagérer, l'air d'avoir fait la guerre. Le volant était rafistolé avec du gros scotch et des bouts de tissu qui avaient sûrement appartenu à de vieux T-shirts devenus trop petits. La radio, version non-intégrée, était un vieux boitier noir du temps de la Seconde Guerre Mondiale, qui, par on ne sait quel miracle, marchait encore. Ou pas. Le chauffeur avait vainement essayé de l'allumer pour écouter de la musique en enfonçant le gros bouton noir, mais comme celui-ci semblait avoir signé son arrêt de mort il y avait déjà quelques dizaines d'années, M. Tache avait fini par le lâcher et reprendre son volant en marmonnant quelque chose qui ressemblait à "Marche jamais, ç'truc la.". Puis il avait commencer à dire que c'était calme ces derniers temps. Et qu'heureusement, il y avait moins d'embouteillages que d'habitude. Puis il avait enchaîné sur le fait qu'il avait de la chance d'avoir Dibby avec lui en montrant du doigt un extraterrestre en plastique, dont les longs bras et jambes lui donnait un air de chewing-gum écrabouillé, dont les yeux ressemblaient à deux raisins secs après un lifting façon San Francisco et qui, selon lui, était fluorescent. Puis il avait raconté qu'il l'avait acheté… Où, déjà? En fait, c'est à ce moment là que Lisa avait décroché, partant dans ses pensées, vraiment troublée, au point de ne plus entendre le conducteur, de ne plus voir les rues de la ville défiler sous ses yeux, de ne plus penser à autre chose qu'à celle-la: Dans à peine une heure, elle retrouverait la maison qu'elle avait quittée il y avait quatre ans de cela. Et si tout n'était pas parfait, ils auraient intérêt à se préparer avant que la Quatrième Guerre Mondiale n'éclate. Et ce, pour une histoire d'anniversaire raté. Toujours d'aussi bonne humeur, Mademoiselle Carter.
"Hey, Mam'zelle, z'êtes arrivée. Mais vous êtes sûre que c'est c'te maison? M'enfin, on voit d'plus en plus d'fous d'toute façon. J'suis content qu'elle soit ré-habitée, moi. 'Faut dire qu'elle était bien jolie, cette villa. Hey!.."
Toujours aussi peu attentive à ce que racontait ce vieillard un peu trop bavard à son goût, Lisa avait jeté nonchalamment un billet sur la banquette, et, avec la grâce qui lui était propre, était sortie du morceau de ferraille sur roue - car on ne pouvait pas appeler ça une voiture - et s'était éloignée avec un air impassible. Elle n'avait pas hâte de retrouver cette maison. Elle n'y était pas du tout attachée. Lisa n'était d'ailleurs attachée à rien. Ah, si. A sa vie. Génial, n'est-ce pas? Elle parcourut le jardin en marchant sur le sentier en pierre. Cette maison qui un mois auparavant avait tout d'un vieux château abandonné ressemblait maintenant à une véritable villa secondaire. Et ç'en était une. Des jardiniers, des ouvriers et un personnel de nettoyage avaient étés engagés dans le but de la remettre à neuf pour la fête qui allait y avoir lieu. Et, apparemment, ils avaient bien fait leur boulot. Les fenêtres étaient ouvertes, les murs sales repeints, le lierre en partie arraché. C'était parfait. Lisa monta les escaliers et atteignit la grande porte de bois massif qu'elle poussa sans difficulté. Elle était peut-être lourde, mais les gonds avaient bien étés huilés et elle ne grinçait plus. La jeune Alpha pénétra dans la pièce. Les rideaux avaient étés tirés et la lumière du jour inondait la pièce, faisant luire le lustre de cristal comme un soleil. Les grandes fenêtres donnaient à quiconque entrait dans cette pièce l'impression d'être une poupée dans une grande maison. C'est d'ailleurs ce que pensaient toujours les invités en voyant Lisa, lorsqu'elle vivait encore ici. "Oh, mais comme elle est belle! Elle ressemble à une poupée. Vous avez vu, Adam? Ah, si seulement c'était notre petite fille à nous." Si vous étiez mes parents, vous seriez ruinés. D'abord, parce que je coûte cher en biens matériels. Et ensuite, parce que j'aurais brûlé ce qui vous servait de maison, pensait Lisa. Mais elle ne le disait jamais à voix haute. Seul Edwin était au courant de sa véritable histoire. Et il était intelligent. Il n'allait pas la révéler à tout le monde. Non, personne ne saurait jamais. Lisa ferma les yeux, évitant de penser à cette période de sa vie où elle avait été reniée et détestée. Plus rien n'était pareil maintenant. Elle était au dessus de tous. Il se prosternaient devant elle. Plus personne ne pourrait rien contre sa supériorité. Elle était inattaquable.
Elle monta les marches de marbre blanc et parcourut les couloirs de la villa comme elle parcourait ceux de l'Orphelinat. Comme une Reine. C'était irrémédiable. Elle avait la classe, et elle s'en servait. Pour montrer au reste du monde qu'il ne valait rien. Lisa, c'est une personne spéciale, mais quand on a réussit à la cerner, ce que seul Edwin à réussit à faire, on la comprend. Mais on ne l'aime pas forcément. Sa relation avec Edwin? Elle est spéciale, comme les deux personnes qui la partagent. Et indescriptible. Elle arriva devant une porte plus belle que les autres et l'ouvrit avec délicatesse, comme toujours. C'était une chambre. Sa chambre. Elle était à peu près dans les mêmes tons que celle de son appartement, mais avait des couleurs plus jolies, et était bien sûr bien plus luxueuse. Un lit couvert de draps blancs et ors, dont les coussins assortis était soigneusement déposés sur la couche inutile la plus haute, était l'élément principal de la pièce. Il était protégé par une moustiquaire blanche décorée d'arabesques ors qui lui donnait un l'air du lit d'une princesse d'Inde. Ce lit était accompagné de plusieurs meubles, dont une coiffeuse, une commode, un bureau inutile puisqu'il en existait un autre dans une pièce à part et un fauteuil rembourré. Sur la coiffeuse étaient posés différents produits de beauté pleins, ajoutés le jour même pour que Lisa puisse se préparer sans manquer de rien. Et la commode contenait des sous-vêtements, eux aussi datant du jour. Mais pas un seul vêtement. A quoi ça aurait servit? Lisa possédait deux dressings dans la maison, et un dans son appartement. Toutes sortes de tenues y avaient étés transportées, dont sa tenue pour la soirée. Celle qui devait éclipser celles de toutes les autres. Celle qui devait faire de Lisa une véritable Reine. Un ange de beauté. Lisa déposa son manteau et son sac sur le lit. Elle ouvrit la porte-fenêtre menant au balcon et s'appuya contre la balustrade. Il faisait beau. Tout promettait d'être parfait. Elle regarda un moment les oiseaux, puis esquissa le premier sourire de la journée. Il était temps qu'elle commence à se préparer.
La salle de bain était une pièce presque aussi grande que la chambre. Les murs et le sol étaient décorés de carreaux colorés de différents bleus, du marine, au cyan. La grande baignoire était comme incrusté dans le sol et particulièrement confortable. Une servante discrète lui avait fait coulé un bain à son arrivée et y avait mit des pétales de roses. Tout autour de la baignoire, des bougies avaient étés disposées. De la vapeur s'échappait de l'eau et donnait à l'endroit un air irréel. Lisa enleva sa robe et ses ballerines. Puis elle défit ses sous-vêtements et entra la dans baignoire. L'eau était à la bonne température. Génial. Elle resta un moment les yeux fermés puis elle pris une de ces grosses éponges jaunes et entreprit de se frotter un peu partout avec différents produits. Elle avait l'impression que tout ses problèmes, - bien qu'ils soient infimes -, s'évaporaient avec l'eau. Sa tête était vide et si elle n'avait pas été aussi terre à terre, elle se serait sûrement laissée allée et se serait endormie. Mais elle était Lisa Carter, après tout. Elle était l'élite de la société. Elle ne pouvait pas s'attarder à ce genre d'idioties. Justement, après deux bonnes heures, elle finit par se lever et sortir du bain. Elle attrapa un peignoir et l'enfila, prenant soin d'attacher sa ceinture. Elle sortit de la salle et une servante plutôt jeune s'inclina et se dépêcha de vider le bain et de ranger ses affaires. Lisa, elle, l'ignora, et se dirigea vers le dressing. Il devait faire à peu près quinze mètres carrés. Petit, oui, mais comme elle en avait trois, c'était amplement suffisant. Cette petite pièce, pour toute autre femme, aurait été le paradis. Des dizaines de robes de créateurs alignées formaient comme les rangées d'une bibliothèque. Puis il y avait bien sûr la partie Hauts et la partie Bas. Et au fond, l'immense étagère de chaussures et celles des sacs. Ce soir, Lisa n'aurait pas besoin de sac. Elle était chez elle, après tout. Elle ignora les différentes robes et prit celle qui était protégée par une sorte de manteau de plastique. Elle n'oublia pas la paire de chaussures et retourna dans sa chambre. Là, elle put enfin contempler le travail d'un des créateurs les plus chers et les plus connus du pays.
Ses chaussures, à talons bien évidemment, étaient entre le noir et le gris, penchant tout de même plus vers le noir. Elle pouvaient paraître simples, mais elles ne l'étaient pas du tout. Et même si elles ne l'avaient pas étés, rien que la petite étiquette indiquant le nom de leur créateur aurait put les rendre époustouflantes. Car l'œuvre en elle-même ne compte pas vraiment. C'est son prix et le nom inscrit dessus qui sont les plus importants. Un peintre célèbre avait bien fait vendre un tableau qui n'était en fait qu'une toile bleue. Les connaisseurs auraient put vous écrire un livre sur la technique, mais une personne assez peu cultivée la voyant au musée se serait dit qu'il avait du la faire en trois minutes maximum. C'était un peu le cas des chaussures de Lisa. Les bouts joliment arrondis, les formes lisses, le peu de bruit que faisaient les talons en claquant sur le sol, le fait qu'elles soient confortables et pratiques malgré leur esthéticité. Tout cela avait été préparé avec soin pendant plusieurs jours pour qu'elles soient parfaites. Et elles l'étaient. Sous sa robe, Lisa avait mit un collant discret. Mais la robe, elle, n'était pas discrète du tout. Elle était magnifique. Proprement magnifique. Elle était d'un jaune entre l'ocre et l'or, plutôt pâle. Partout sur la surface, des arabesques plus foncées, faisant paraître la robe pour celle d'un reine de la renaissance. Le haut était classe mais assez bien formé pour mettre en valeur les formes féminines de l'Alpha. Le bord était une fine bande noire. Les manches, courtes, pour des mouvements plus faciles, étaient bouffantes et agréables. A la taille, une ceinture noire, ornées d'une grosse rose pâle sur le côté gauche. Puis le bas de la robe. Le tissu utilisé pour le haut continuait pour former des sortes de cœurs un peu plus bas que les hanches. Et en dessous, s'était un tissus plus clair, et plutôt pastel. Il était décoré d'arabesques d'une couleur différente et dont les motifs n'étaient pas les mêmes. Bien sûr, la robe était plus compliquée, mais il aurait été trop long de la décrire dans les moindres détails. Avec elle, la jeune femme porterait deux bracelets noirs au poignets droit. Mais pas n'importe quels bracelets. Ceux-la étaient parsemés de diamants. Puis, le masque.Il aurait été difficile de dire à quoi il ressemblait. Peut-être était-ce un Paille-en Queue, une Hirondelle ou un Papillon. De chaque côté, deux "barres" partaient vers le ciel, comme des piques, ou des ailes, selon la personne qui regardait. Il était de la même couleur que la robe {Petit Changement}. Avec les mêmes arabesques. Celles du haut. Il couvrait presque tout le visage de Lisa mais elle restait reconnaissable parmi mille. Par sa robe, ses cheveux, sa démarche, son charisme. Non, il était impossible ne ne pas la reconnaître. Elle sortit de la chambre et se dirigea vers la grande salle. Elle se faisait attendre depuis trop longtemps.
"Mlle Carter!"
Lisa se retourna, agacée. Elle était déjà en retard et ne voulais pas attendre. La personne qui l'avait appelée était un Béta. Apparemment essoufflé, il courut vers elle et s'arrêta lorsqu'il fut à son niveau, au bord de l'épuisement. A en juger par ses cheveux en bataille, sa cravate de travers, les gouttes de sueur qui dégoulinaient de son visage et sa difficulté à tenir sur ses deux jambes, il devait courir depuis un bout de temps. Lisa, impatiente, ne dit pas un mot, mais lui lança un regard à la fois interrogateur et méprisant. Il sembla le remarquer parce qu'il s'empressa de lui faire part du problème. Mme. Poquelin, femme française très appréciée et respectée, était coincée à son hotel à cause de son chauffeur malade et n'arrivait pas à trouver un taxi. Pendant toute son explication, Lisa lui adressa le même regard et ça ne changea pas lorsqu'il eu fini. Il s'arrêta et se tut. L'Alpha ne bougea pas d'un pouce. Il stressait et commençait à se demander s'il ne devait pas faire quelque chose pour briser ce silence pesant. Au bout de quelques minutes, qui parurent néanmoins aussi longues que des heures, elle prononça un mot. Un seul. Et pas des plus explicites. "Et?". Non, Lisa n'avait jamais facilité la vie au Bétas, et elle ne le ferait jamais. Ni à eux, ni à personne d'autres. Elle savait très bien qu'il demandait son aide. Mais elle voulait lui pourrir la vie. Alors elle l'avait fait. Le Béta commença à bafouillé quelques mots que seuls les poils de sa moustache avaient dû comprendre. "Nous... avons.... euh... Mme.. Poquelin. Elle veut vous parler..." Lisa se rendit donc dans la salle ou tout été supervisé, à l'opposé de la salle de ball. Là bas, elle prévint Edwin. Même pendant les fêtes, il avait toujours son portable sur lui. Elle raccrocha et appela cette chère dame, pour lui apprendre qu'un taxi allait lui être envoyé par Edwin. Elle raccrocha le téléphone, lança un regard plus que noir à ses employés, histoire de leur mettre la frousse une bonne fois pour toutes, et se reprit son chemin. Même le jour de son anniversaire, il y avait des incapables pour venir lui demander de l'aide. Tss.
Lorsqu'elle arriva en haut des escaliers, tout le monde tourna la tête. Ils se préparèrent d'ailleurs tous à la saluer. Ils n'étaient pas là pour fêter l'anniversaire de quelqu'un. Ils étaient là uniquement pour eux. Pour accroitre leurs relations. Et leur puissance par la même occasion. Lisa, de son côté, les avait invités pour les mêmes raisons. Elle n'avait pas d'amis. Et elle n'en voulait pas. Ils prétendaient nous apprécier, mais au moindre pas, au moindre geste qui pourrait leur nuire, ils couraient et vous abandonnait. Il n'y avait pas d'amitié. Ce n'était qu'une façade. Une façade à l'hypocrisie. Tous sourirent bêtement. Et se rapprochèrent des escaliers pour pouvoir parler les premiers. Ils paraissaient nombreux. Peut-être Edwin avait-il rajouté des invités. Il avait toujours sut distinguer les personnes utiles de celles inutiles. Lisa le salua avec un sourire, qu'il lui rendit. Gabriel marmonna un inaudible "Bonjour" avant de descendre les escaliers et de se faire lui-même assaillir par certains invités. Edwin, lui, ne descendait pas. S'il descendait, pas quelques, mais TOUS les invités seraient sur lui. Et il préférait passer une soirée tranquille à observer sa fille adoptive manipuler les faibles sans le moindre problème. Il aimait sa façon de les mener par le bout du nez. Et de les écraser sauvagement par la suite. Une femme charmante, nous disions. Il indiqua à Lisa l'endroit où se trouvait Ren, un Delta, qu'elle avait choisit pour s'occuper de la sécurité. Il passerait sûrement la soirée auprès d'elle pour la protéger. Après tout, le pouvoir de Lisa ne pouvait blesser que les faibles et il prenait beaucoup de temps, alors si un événement inattendu avait lieu, il ne serait d'aucune utilité. Elle descendit les marches, plus gracieuse qu'un cygne, dans sa robe de princesse. Vers le milieu des escaliers, elle fit signe à Ren de la rejoindre. Puis elle continua à descendre. Arrivée en bas, elle se fit vraiment assaillir. Tous se jetèrent sur elle comme mon chat sur le chat qui ose toucher à SA gamelle des fourmis sur un unique bout de pain. Lisa les écarta d'un signe agacé et entreprit de leur dire bonjour à tous. Ce fut long, très long. Mais elle finit bien par arriver à la fin et elle serra enfin la dernière main. Là, elle entama une conversation avec le directeur à grosse moustache d'une école de redressement qui pourrait bien leur ramener des gamins gratuitement.
"-Je vous le dit, je suis sûr que certains seraient très utiles. Vraiment très utiles. Megami, par exemple est un enfant...."
Et c'était reparti.
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| | | Abe.> Fondatrice & Admine. The sardine (?) was sick.
Messages : 973 Date de naissance : 31/12/1996 Age : 27 Date d'inscription : 02/12/2009 Virus : Omicron. Pouvoir: : Donner son énergie vitale. Age : 18 ans.
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Dim 7 Mar - 10:59 | |
| [aucune inspiration, je saute ] |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Dim 7 Mar - 13:34 | |
| Gabriel va discuter avec un "invité" qui est en fait un Oméga ou un Omicron (A ceux qui veulent discuter avec lui, sachant que quand je vous répondrais, ça fera même pas deux lignes, mais que la personne qui l'adoptera pourra re-rp avec vous tout en prenant compte de votre rencontre). Edwin va se balader dans les couloirs. |
| | | Abe.> Fondatrice & Admine. The sardine (?) was sick.
Messages : 973 Date de naissance : 31/12/1996 Age : 27 Date d'inscription : 02/12/2009 Virus : Omicron. Pouvoir: : Donner son énergie vitale. Age : 18 ans.
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Mar 9 Mar - 17:07 | |
| Le tour de Makenzie saute. |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Sam 13 Mar - 10:08 | |
| - Le tour de Ren saute.
Bon, je crois qu'on va s'arrêter ici pour l'Event u_u. Plus personne ne répond. En fait, presque plus personne n'est actif sur le forum. Night qui ne vient pas n'arrange pas les choses.
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Sam 13 Mar - 12:15 | |
| ( désolée pour le poste )
Nan moi je veux continuer T-T On n'a qu'à faire l'évent avec ceux qui sont encore là =D |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Sam 13 Mar - 12:18 | |
| - Ceux qui sont encore là, ça fait 3 ou 4 personnes, dont seulement deux ou trois qui participent à l'Event.
Je n'ai ni l'inspiration, ni la motivation de continuer é_è.
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Sam 13 Mar - 12:43 | |
| =/ En effet mais peut-être que Sao peut s'incruster et que l'évent reste évent en étant un rp à trois ou plus si d'autre reviennent (: |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Sam 13 Mar - 18:49 | |
| Heu... Me taper plusieurs messages de suite qui font 10 000 lignes, non merci |
| | | Euphemia.Fuck me like you hate me.
Messages : 57 Date de naissance : 19/06/1995 Age : 29 Date d'inscription : 01/01/2010 Virus : Omicron. Pouvoir: : Contrôle du Métal. Age : 17 ans.
| | | | InvitéInvité
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Dim 14 Mar - 10:04 | |
| - Le problème survient dans les deux derniers mots de ton message Euphemia.
Les Admines. Night n'a pas posté depuis plusieurs jours alors qu'elle est en vacances et m'a bloquée sur MSN suite à une dispute où elle était en faute. Donc difficile de voir "entre admin". Et c'es vrai que si plus personne ne répond, ça sert pas à grand chose. Moi même j'aurai pas l'inspiration pour répondre.
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| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} Dim 14 Mar - 18:03 | |
| - Bon, j'en ai marre. Je suis désolée les gens, mais je changerais pas d'avis.
J'aime pas être admin, y'a un bout de temps que je voulais arrêter. C'est plus du tout un plaisir lorsqu'on doit s'occuper de tout. Alors ou Night reprends le forum toute seule ou avec quelqu'un, ou il ferme, parce que je m'en vais. J'attends qu'elle réponde pour supprimer mon compte. Au revoir.
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| Sujet: Re: > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} | |
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| | | | > Happy Birthday {SUJET PRINCIPAL} | |
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